L'Énergie des auras et L'Énergie des chakras, parus chez New Page Books et
Les Éditions AdA. Ses livres ont été publiés dans plusieurs langues à travers
le monde. La Dre Shumsky pratique des disciplines de croissance personnelle
depuis 1967 ; elle s'est entraînée à la méditation profonde plusieurs heures par jour
dans !'Himalaya, les Alpes suisses et d'autres lieux isolés, sous la
supervision personnelle d'un maître indien, le Maharishi Mahesh Yogi, fondateur
de la Méditation Transcendantale, gourou des Beatles et de Deepak Chopra. Elle
a fait partie de l'entourage immédiat du Maharishi pendant sept ans en Espagne,
à Majorque, en Autriche, en Italie et en Suisse.
Elle a ensuite étudié la philosophie de la
Nouvelle Pensée et la métaphysique pendant 25 autres années, avant de devenir
docteure en divinité. La Dre Susan Shumsky a choisi de consacrer sa vie à aider
les gens à prendre leur vie en main de façon efficace, énergique et positive. Susan est une experte de premier plan en spiritualité, une
conférencière professionnelle saluée et très respectée par la critique, une
invitée recherchée; son approche est aussi multidisciplinaire et inter-religieuse. Dans le résumé proposé ci-dessous, nous n'aborderons pas les exercices techniques proposés: si cette approche vous intéresse, vous pouvez télécharger le livre ici.
De 1990 à 1995, Rick J. Strassman a mené une recherche en expérimentant sur des dizaines de volontaires la mystérieuse molécule : la DMT, un puissant psychotrope. Voici quelques éléments de ce livre:
" La glande pinéale humaine ne fait pas réellement partie du cerveau. Elle est créée à partir de tissus spécialisés dans le palais de la bouche du fœtus. De là, elle migre au centre du cerveau, où elle semble avoir le meilleur siège dans la maison. Nous avons déjà remarqué la proximité de la glande pinéale et des canaux du fluide cérébrospinal, qui donne à ses sécrétions un accès facile aux régions les plus profondes du cerveau. En outre, elle se situe dans la proximité stratégique des principaux centres cérébraux émotionnels et sensoriels. Ces moyeux sensoriels ou perceptifs sont appelés colliculi visuels et auditifs, petites éminences de tissu cérébral spécialisé. Ce sont des stations relais pour la transmission des données sensorielles au cerveau, prenant part à leur enregistrement et leur interprétation. C'est-à-dire, les impulsions électriques et chimiques qui commencent dans les yeux et les oreilles doivent passer par les colliculi avant que nous ne les ressentions dans notre mental, sous la forme de visions ou de sons. La glande pinéale se trouve directement au-dessus de ces colliculi, séparée seulement par un canal étroit de fluide cérébrospinal. Tout ce qui est sécrété par la glande pinéale dans ce fluide s'installe dans les colluli en un instant. En outre, le cerveau limbique ou "émotionnel" entoure la minuscule glande pinéale. Le système "limbique" est une collection de structures cérébrales prenant intimement part à l'expérience de sentiments, comme la joie, la rage, la peur, l'anxiété et le plaisir. Ainsi, la glande pinéale a un accès direct aux centres émotionnels du cerveau. Pendant de nombreuses années, les physiologues considéraient la glande pinéale des mammifères comme l'équivalent de "l'appendice du cerveau". C'était un organe résiduel, un vestige, une 'régression' à notre [supposée] époque reptilienne, sans rôle connu. Cela changea quand le dermatologue américain Aaron Lerner découvrit la mélatonine en 1958. Cette découverte, et d'autres apparentées, ouvrirent ce que l'on pourrait appeler l'ère de "l'hypothèse mélatoninienne de la fonction de la glande pinéale". "
" Étant donné que la glande pinéale n'est pas constituée à partir du tissu cérébral, elle se trouve à l'extérieur de la barrière du sang cérébral, et devrait réagir aux produits chimiques et drogues apportés par le sang. Néanmoins, le corps protège la glande pinéale avec une farouche ténacité. Les poussées, liées au stress, d'adrénaline et de noradrénaline des surrénales, qui sont sécrétées dans le sang, ne vont jamais à la glande pinéale. Le système de sécurité de la glande pinéale, constitué de cellules nerveuses "aspirantes", ne fait que nettoyer l'adrénaline et la noradrénaline véhiculées par le sang d'une façon incroyablement efficace. Il n'est pas étonnant que cette barrière rende pratiquement impossible la stimulation de la glande pinéale pour qu'elle produise de la mélatonine le jour. De minuscules vaisseaux sanguins entourent la glande pinéale ; aussi, une fois qu'elle a fait de la mélatonine, l'hormone entre rapidement dans le courant sanguin et se répand dans tout le corps. La glande pinéale sécrète aussi de la mélatonine directement dans le fluide cérébrospinal, où elle peut affecter le cerveau encore plus rapidement."
Le DMT reproduit de nombreuses caractéristiques d'une expérience d'illumination, y compris l'intemporalité ; l'ineffabilité; la coexistence des contraires ; le contact et l'union avec une présence suprêmement puissante, sage et aimante, expérimentée parfois comme une lumière blanche; la certitude que la conscience continue après la mort du corps ; et la connaissance de première main des "faits" basiques de création et de conscience. Cela dit, le fait demeure, que la molécule de l'esprit ne nous conduit pas toujours à l'amour et à la lumière. Elle peut nous montrer de terrifiantes réalités et nous marquer aussi longtemps avec ces expériences que peut le faire n'importe quelle expérience terrifiante. Le DMT est une drogue potentiellement dangereuse.
Ces sentiments extatiques peuvent être, en partie, liés à l'irruption puissante, induite par le DMT, de la bêta-endorphine cérébrale morphinomorphe. Le DMT a aussi stimulé une production massive, dans le cerveau, de casopressine et de prolactine. Les scientifiques croient que ces composants sont importants dans les sentiments de lien, d'attachement, et de bien-être avec les autres membres de l'espèce. Il se peut que l'élévation du niveau de ces produits chimiques cérébraux ait facilité la confiance de la part des volontaires, la relaxation dans les effets de la drogue, et le partage de problèmes puissamment personnels d'une façon qui semblait préalablement impossible.
Qu'arrive-t-il quand la molécule de l'esprit nous tire et nous pousse au-delà des niveaux physiques et émotionnels de conscience ? Nous entrons dans des mondes invisibles, que nous ne pouvons ordinairement sentir et percevoir, et dont nous imaginons à peine la présence. Ce qu'il y a d'encore plus surprenant, c'est que ces mondes semblent être habités. À un niveau neurologique, ce que nos volontaires ont rencontré, était peut-être une expérience hallucinatoire vive, résultant de l'activation par le DMT des centres du cerveau responsables de la vision, de l'émotion, et de la pensée. Après tout, nous rêvons et nous sommes complètement entraînés dans la réalité de l'expérience pendant ce temps. Les mouvement oculaires rapides qui se produisaient parfois chez nos sujets, peuvent avoir indiqué la présence d'un état de rêve "éveillé".
Le DMT permet un accès régulier, répété, et digne de confiance, à "d'autres" canaux. Les autres plans d'existence sont toujours là.
Comment cela pourrait-il se produire ?
Je ne prétends pas avoir une grande compréhension de la physique sous-tendant les théories des univers parallèles et de l'antimatière. Ce que je sais, cependant, me permet de les considérer comme des 'lieux' possibles où le DMT pourrait nous conduire, une fois que nous avons laissé le monde 'personnel' derrière nous.
Le DMT a fait voir des idées, des sentiments, des pensées, et des images, que nos volontaires n'auraient jamais imaginés. Les psychédéliques stimulent l'imagination, et, ainsi, ce sont des instruments logiques pour améliorer la créativité.
Le DMT injecté à différents dosages a suscité des effets de relaxation, d'anxiété ou de peurs, et des rencontres spéciales (Dieu, des entités extraterrestres, des univers parallèles, etc.). Il y a donc une corrélation évidente avec les récits d'expériences de mort imminente, sortie de corps, de voyages spirituels. Faut-il, et peut-on en déduire une simple activation par le DMT, produit par la glande pinéale, des centres du cerveau responsables de la vision, de l'émotion, et de la pensée? Rien ne le prouve vraiment puisque nous ne pouvons pas stimuler directement cette glande. Mais bien sûr, l'explication déterministe séduira certains...
D'autres facteurs sont à prendre en compte bien résumés sur le site http://www.2012un-nouveau-paradigme.com.
La glande pinéale est plongée dans le troisième ventricule du liquide céphalo-rachidien et, sous la pression des vases communicants, ces structures souffrent d’une pression semblable à celle que le cerveau éprouve, ces structures ayant un format semblable à celui du cerveau.
Ces structures sont des capsules, en cristaux d’apatite.
Mais pourquoi y’a-t-il des cristaux dans la tête ?
Auparavant, on pensait que la glande pinéale dégénérait avec l’âge et qu’elle n’avait pas la moindre fonction, mis à part faire émerger la sexualité jusqu’à l’âge de 13/14 ans, pour ensuite perdre toute fonction et se calcifier. De fait, un processus bio-minéral affecte la glande, la faisant se calcifier. Pour sa thèse de doctorat de l’université de São Paulo, le Dr Sergio Felipe de Oliveira a fait des recherches sur les cristaux de la glande pinéale au moyen de la diffraction des rayons X. Ce travail lui a permis de vérifier qu’elle ne se calcifiait pas mais, donnait lieu à la formation de structures organisées. Mais alors, quelle serait donc la fonction de ces structures à l’intérieur de l’organisme ?
L’étude par la diffraction des rayons X et par l’emploi d’autres techniques, lui a permis de découvrir l’existence des cristaux d’apatite. La tomographie par ordinateur et la résonance magnétique furent également utilisées. Il a ainsi pu observer qu’une microcirculation sanguine maintenait métaboliquement les cristaux actifs et vivants.
Ces cristaux donnent à la glande une structure semblable à celle d’une caisse de résonance : l’apatite comporte de nombreux électrons à sa superficie, et repousse le champ magnétique. Lorsqu’un champ magnétique s’approche de la glande, il touche l’un des cristaux qui ricoche sur un autre, et ainsi de suite, jusqu’à ce que le champ soit fait prisonnier. Plus une personne dispose de cristaux, plus elle aura de possibilités de capter les ondes électromagnétiques. Les médiums ostensifs ont beaucoup de cristaux.
L’apatite est un minéral que l’on trouve aussi dans la nature sous la forme de pierres taillées. Les recherches montrent que ce cristal capte les champs électromagnétiques. Et le plan spirituel agit au moyen de ces champs. L’intervention divine s’effectue toujours en obéissant aux lois de la nature.
Les médiums, qui sont des personnes capables d’entrer en contact avec d’autres dimensions spirituelles, ont une plus grande quantité de cristaux d’apatite dans leur glande pinéale. Or, personne ne peut augmenter ou diminuer cette concentration de cristaux, c’est là une caractéristique biologique, au même titre que la couleur des yeux ou des cheveux.
La glande pinéale est un puissant récepteur, mais ce sont d’autres zones du cerveau qui décodent les informations reçues, telles que le cortex frontal cérébral. Sans cette interaction, les informations reçues ne pourraient pas être comprises. C’est pourquoi les animaux ne peuvent pas les décoder : les autres parties de leur cerveau n’ont pas cette attribution.
La glande pinéale capte ainsi des vibrations du spectre électromagnétique traduisant nos émotions, nos pensées ou celles des esprits, voire celles d’autres personnes au moyen de la télépathie. Elles sont archivées et elles réagissent au sein du cerveau de diverses manières. C’est sans doute pour cette raison que les hindous considèrent que la glande pinéale est la glande de la vie mentale, et du contact avec l’au-delà…
Notre tête est imperméable à la lumière, alors que la glande pinéale est atteinte par la lumière au travers de la rétine des yeux. Une partie de la lumière captée par les yeux forme une image en arrivant au lobe occipital où l’image est formée. Quant à l’autre partie de la lumière, elle régulera les rythmes de notre organisme (ce sont les effets non visuels de la lumière), par exemple les heures auxquelles les hormones de croissance doivent être produites. Tout le rythme est coordonné par la glande pinéale.
Il y a aussi des hormones qui sont sagement régies par la Lune : toute grossesse saine dure neuf mois, ce qui est exactement la durée de l’année lunaire. Mais comment l’organisme accompagne-t-il cela ainsi ? C’est parce que la glande pinéale capte les émissions de la Lune et cela se répercute dans toute l’hormonologie régie par la Lune, qui régule les hormones sexuelles reproductrices.
Au cours des cycles de veille et de sommeil, c’est l’oeil qui capte la lumière et qui informe l’organisme de ce qu’il fait jour ou nuit. La nuit, la production d’hormones augmente sous l’effet de la glande pinéale et induit l’état de transe par dédoublement car, si nous allons dormir, il y aura dédoublement et sortie du corps.
Voici quelques-uns de ses bienfaits :
— La bénédiction nous enlève tout le stress, tout le poids d’une situation. Nous n’avons plus à penser aux solutions, à chercher comment résoudre une situation à tenter de trouver l’issue ou la solution. C’est comme si nous pouvions délier de l’intérieur toutes situations non harmonieuses pour établir l’harmonie totale et parfaite.
— La bénédiction génère en nous une grande paix, une force tranquille et une formidable énergie.
— La bénédiction vient à bout de toutes les résistances, elle anéantit les obstacles qui se dressent sur notre chemin et nous permet de changer le cours des choses dans l’harmonie.
— La bénédiction multiplie les choses positives dans nos vies et nous permet de nous doter d’une plus grande solidité intérieure.
— La bénédiction nous permet d’aider quelqu’un à distance, de pacifier les autres et de voir se produire l’impossible.
Bénir signifie reconnaître le bien infini qui fait partie intégrante de la trame infinie de l'univers. Il n'attend qu'un signe de vous pour se manifester . (Pierre Pradervand)
Lorsque vous bénissez vous transformez ce que vous croyiez être l’ennemi (pensées, sentiment, l’autre, la situation, etc.) en ami. Ce qui, en apparence vous nuisait, se transforme pour votre plus grand bien. Cela simplement parce qu'en bénissant vous retirez le pouvoir de l’illusion de la matière afin de laisser s’épanouir la véritable Puissance qui est Divine.
L’Amour est
la clé. La bénédiction est une porte qui s’ouvre sur une autre dimension de la
conscience, de la Vie.
Comme l'écrivait Maurice Bellet, « ici, l'amour inconditionnel est feu, premier,
absolu, sans dépendance, sans prétention : ce grand manque commun qui
demeure dans l'urgence d'être comblé. Une présence dont l'absence est brûlure.
Cette lumière incite à demeurer dans le don, le pardon, la suprême innocence
qui traverse tout, la générosité qui espère sans point d'appui tout en se
disant, intraitable, au cœur de la Ténèbre. Une aventure infime et infinie,
l'origine originante de tous les possibles que rien n'épuise ni ne mesure. Foi
envers autrui, foi envers soi-même, avancée vers l'horizon de la vie
heureuse : la Pacification. »
Pour cela, il est nécessaire de bien articuler:
L’égo, le mental et
l’Être : Comme aime à le dire Eckart
Tolle, « la structure même du soi égotique comporte un besoin
d’opposition, de résistance et d’exclusion destiné à maintenir le sentiment de
séparation dont Le soi égotique dépend sa survie. C’est donc « moi » contre «
l’autre », « nous » contre « eux ». L’ego a besoin d’un conflit avec quelque
chose ou quelqu’un. Cela explique pourquoi on recherche la paix, la joie et
l’amour, sans pouvoir les tolérer très longtemps. On prétend vouloir le
bonheur, mais on est accroché au malheur. En définitive, votre malheur ne vient
pas de votre condition de vie, mais du conditionnement de votre esprit. Le
mental humain, dans son désir de connaître, de comprendre et de contrôler,
prend ses opinions et points de vue pour la vérité. Il dit : c’est ainsi que
cela fonctionne. Vous devez dépasser la pensée pour vous apercevoir que, peu
importe comment vous interprétez « votre vie », celle d’un autre ou son
comportement, et peu importe le jugement que vous portez sur une condition, ce
n’est qu’un point de vue parmi maintes possibilités. Ce n’est qu’un amas de
pensées. Mais la réalité est un ensemble unifié dans lequel tout est entrelacé,
où rien n’existe en soi ni isolément. La pensée fait éclater la réalité ; elle
la découpe en fragments conceptuels. Le mental, cet instrument utile et
puissant, devient fort contraignant s’il s’empare totalement de votre vie, si
vous ne voyez pas qu’il constitue un aspect négligeable de la conscience que
vous êtes. MAIS, je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions, ni mes
perceptions sensorielles, ni mes expériences. Je ne suis pas le contenu de ma
vie. Je suis la vie. Je suis l’espace dans lequel tout se produit. Je suis la
conscience. Je suis le Présent. Je Suis. Lorsque vous savez qui vous êtes
vraiment, un sentiment de paix durable et vivant s’installe. On pourrait
l’appeler la joie, car c’est bien la nature de celle-ci : une paix vivante et
vibrante. C’est la joie de reconnaître en soi l’essence de la vie, celle qui
précède la forme. C’est la joie d’Être - d’être qui on est vraiment. La vie de
la plupart des gens est menée par le désir et la peur. Le désir, c’est le
besoin de vous donner quelque chose qui vous permettra d’être davantage
vous-même. Toute peur est celle de perdre, donc de subir une diminution, d’être
amoindri. Ces deux mouvements occultent le fait que l’Être ne peut
ni s’ajouter ni se soustraire. L’Être dans sa plénitude est déjà en vous,
maintenant. » Quand on parvient à le
réaliser une libération s’opère : plus besoin d’être davantage ! On
peut voir ce qui se présente dans le moment présent, ce qu’il contient de beau,
de bon, d’utile, de nécessaire ou d’agréable, voir cela aussi dans les autres
rencontrés. De quoi entraîner une spirale positive :
Ainsi la
dopamine, qualifiée d'hormone de
l'action, intervient dans l'anticipation, la motivation, la projection
d'émotions positives et nous pousse à positiver, à avancer. Un bon niveau de
dopamine encourage l'activité, trop de dopamine incite à rechercher des
situations à risque, mais à l'inverse, un déficit de cette substance (ce qui
est une caractéristique de la maladie de Parkinson) trouble les mouvements et
rend léthargique.
Autre vaccin
anti chagrin : la sérotonine.
Ce neurotransmetteur fabriqué dans des
neurones du tronc cérébral est indispensable pour réguler nos humeurs. Stimulé
par la passion amoureuse, les relations sociales, les pensées positives, les
contacts physiques, il agit comme un euphorisant. On observe un déficit
important de sérotonine chez les personnes en dépression ou simplement
malheureuses parce que séparées d'un être aimé. Citons également les endorphines et enképhalines,
bien connues des sportifs sous le nom d'hormones du plaisir. Ces substances
produisent un effet euphorique, anxiolytique et antalgique. Elles modulent le
message douloureux, inhibent sa transmission dans le cerveau et provoquent une
sensation de bien-être immédiat lors de leur réception par les cellules
nerveuses. Leurs fluctuations régulent les états de stress et d'anxiété.
Nous sommes bien en effet à la recherche :
D' un lieu où renaître. Il sera lié au vide quantique appelé aussi le champ
du point zéro.
Son existence a été confirmée en 1999 par le satellite Chandra, capable de détecter des champs d’énergie invisibles, qui confirme ce que s’imaginaient les scientifiques : Ce champ ressemble à la structure filamentaire du réseau neuronal, et il contient le 95% de l’énergie et de la matière sombre. Tout en provient et tout y retourne ! L’univers y puise son équilibre. Est-il déterminé ou indéterminé ?
Pour Philippe Guillemant, l'ensemble de l'univers serait un organisme en croissance. Son futur n’est pas déterminé uniquement par le hasard ou les lois
qui le régissent, il serait en formation de la même façon qu'un organisme, et
l'univers recevrait ses informations de l'ensemble des êtres qui le composent.
Passé, présent, futur : une illusion vraiment ?
En Mars 1955, quand son ami de toujours, Michele Besso, décéda, Einstein écrivit une lettre à la famille de ce dernier : « Il a quitté ce monde étrange juste un peu avant que je ne le fasse à mon tour. Cela ne signifie rien. Les gens comme nous, qui croyons à la Physique, savons que la distinction entre le passé, le présent et le futur est seulement une illusion, très persistante, mais une illusion quand même. »
Cette question débattue en physique est reprise avec des conclusions différentes par Philippe Guillemant. Il s’en explique ainsi sur son site. Pour Thibault Damour
• Le futur est déjà là,
• L'espace-temps est un bloc élastique à 4 dimensions,
• Cet espace-temps est susceptible d'évoluer parmi différentes versions de blocs superposés qui correspondent aux mondes multiples de la mécanique quantique, et ceci hors du temps présent qui n'a pas de sens en physique,
• Le futur peut avoir une incidence sur le présent par rétro causalité (ou causalité rétrograde ou rétro chrone).
Nous avons là, en dehors de la notion de libre arbitre, tous les ingrédients de la Théorie de la double causalité, qui me conduisent à quelques remarques :
• Le fait de parler de plusieurs ou d'une infinité d'espace-temps à 4 dimensions introduit d'emblée une 5ème dimension au moins, ce qui n'est pas étonnant puisque la théorie des cordes à laquelle semble adhérer Thibault Damour en introduit 11.
• Je pense, comme beaucoup de physiciens parmi lesquels Stephen Hawking, que la possibilité que l'univers évolue selon différentes formes qui le feraient passer d'un bloc à un autre (dans l'ensemble de tous les blocs possibles superposés) est liée au mécanisme quantique de réduction d'états déclenché par les observateurs de notre univers.
• Le fait d'envisager ce passage d'un univers-bloc à un autre (univers parallèle) réintroduit d'office la fonction du temps présent, puisque toute observation se fait nécessairement au temps présent.
• Il reste à savoir si cette fonction du temps présent opère une sélection par hasard, ou si cette sélection pourrait dépendre de notre libre arbitre.
Le temps n'est donc pas ce qu'il semble être. Il ne s'écoule pas dans une seule direction, et le passé et le futur sont simultanés.
Philippe Guillemant en déduit
naturellement l’existence du libre arbitre – il faut bien que quelque chose
soit en lien avec ces univers superposés - qui serait assorti d'une intensité,
d'une amplitude mesurant sa capacité d'œuvrer directement sur le futur. Cette
capacité, cette intensité, cette amplitude, ce serait tout simplement l'Amour.
L'essence du moteur du libre arbitre serait alors l'Amour. Cela nous conduit à imaginer notre lien avec le passé, présent et l’avenir sous forme de lignes temporelles qui s’ajustent de manière extérieure, transcendante et parfaite à chacun d’entre nous. En conséquence, c’est l’immanence qui est en réalité une illusion. Et ce constat vient tout changer !
Il existe donc un mécanisme régulateur du futur de l'univers qui est tout
simplement notre conscience – notre âme-esprit - qui transcende notre cerveau
biologique, à travers laquelle va pouvoir s'exprimer notre libre arbitre. Une
vague intention sera inefficace, une intention déterminée et bien focalisée –
comme la prière - apporte une réponse si nos intentions sont généreuses et désintéressées. Un homme mu et
déterminé par son ego ou son mental a peu d’influence sur le Futur : il
vit dans son passé-présent uniquement. Il y a donc comme le postule Philippe
Guillemant une causalité qui dépend de nous, de notre vouloir humain, et une
autre qui vient du Futur, de l’Indéterminé avec lequel nous pouvons interagir.
Le libre arbitre y serait l’Amour assorti d'une intensité, d'une amplitude –
l’esprit et l’âme - mesurant sa capacité d'œuvrer directement sur le futur au
même titre que la lumière, l'énergie ou la matière. Cette approche novatrice
est appelée à être vérifiée dans notre vie quotidienne comme une vérité crue,
confessée, attestée, expérimentée mais aussi comme ces intuitions, inspirations,
prémonitions, heureux hasards, ces coïncidences et synchronicités qui nous sont
donnés en réponse à nos souhaits et intentions.
L'intrication quantique suppose la simultanéité des
univers: tout peut y être modifié. Les nouveaux futurs créés glissent dans le
présent et le passé, de sorte qu’il faut abandonner la représentation de
l'évolution de Darwin. Toutefois, rien ne se fera sans notre consentement,
malgré nous ou en dépit de nous ! Quand nous modifions notre avenir par
rétro-causalité, nous le faisons par le biais de l'amour, qui est l'énergie
fondamentale transportée par l'émotion qui lie très intensément nos pensées,
nos intentions et nos convictions intimes; nos destins sont un ajustement
permanent que nous favorisons à travers l'authenticité de l'être, de nos
pensées et grâce à l'amour que nous mettons dans tout ce que nous
faisons ; nos possibles vont surtout dépendre de l’abandon de nos conditionnements car l’Éveil est le lieu où renaissent
l’amour, la liberté, l’intuition,
la raison, la vigilance, la foi, la confiance, le détachement, la gratitude, etc.
L'Eveil se fait par un type de communication très spécifique: par la communication gamma et par les ondes scalaires.
L'échange d'informations est permanent; il se fait depuis la Singularité où tout est équilibre, harmonie, jusqu'à la périphérie, jusqu'au chaos. Nous procédons de ce mouvement permanent de flux et de reflux par notre Conscience cosmique.
Nassim Haramein nous enseigne que tout est issu du vide, de cette matrice divine ; que nous en sommes issus comme toute la matière, et que nous y retournons en permanence pour informer le vide, informations qui seront stockées dans l'espace-temps. Ainsi, nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est aussi le mouvement de la conscience qui nous informe par rétroaction que nous existons. C'est la structure du double tore qui le permet. C'est un échange permanent d'informations qui nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence la réalité.
La méditation prend alors une autre tournure : Fermez les yeux et prenez conscience que l’espace dont vous êtes fait et qui vous entoure vibre comme un cristal.
Puis imaginez que le taux de vibration de votre structure biocristalline dans la structure du vide est équivalent aux informations qui se diffusent en vous et hors de vous – de la même manière qu’un récepteur à cristal accordé sur une certaine fréquence vous permet d’entendre une station radio spécifique.
Si le corps est l’antenne de la radio, le bouton de syntonisation est le cœur qui définit les fréquences d’informations reçues grâce au rythme de la dynamique des fluides de votre corps, celles-ci pouvant être modifiées par votre état émotionnel. Le cœur avec ses battements constituent l'oscillateur le plus puissant de l'organisme : son champ magnétique généré par l'activité électrique est le plus puissant de ceux produits dans l'organisme:
◾Le champ électrique du cœur est 100 x plus puissant que celui du cerveau
◾Le champ magnétique du cœur est 5000 x plus puissant que celui du cerveau
Ce centre neuro-cardio-vasculaire communique avec notre corps par les ondes gamma et par le liquide céphalo-rachidien.
«Une cellule donnée dans le cerveau reçoit des milliers d'entrées, mais elle peut choisir de n'en écouter qu'une et d'ignorer le reste. En outre, ce choix peut changer à tout moment», résume le Dr Edvard Moser, directeur du Kavli Institute for Systems Neuroscience, qui déclare: «Nous pensons que la commutation gamma est un principe général dans le cerveau, qui sert à renforcer les communications entre les régions cérébrales.»
Pourquoi cette communication gamma ne serait-elle pas LE principe général de communication avec l'Univers? Apparaître hors du vide et disparaître en lui est comme une respiration : cela se fait même si nous n'en avons pas conscience. Cela se fait indépendamment de nos croyances et convictions intimes : nous sommes tous en lien avec le vide, la Source, Dieu, que nous soyons athées, agnostiques ou croyants. Ce positionnement est devenu caduc ! Nous ne pouvons pas éviter d'apparaître ou de disparaître hors du vide. Pas plus que nous ne pouvons ne pas donner ou recevoir d'informations.
Nous sommes dès lors tous liés par une grille électromagnétique qui reçoit et émet les impulsions de la vie.
Tout dans notre corps est formé d’énergie. Chaque cellule est un mini-circuit oscillant comme l’on démontré les admirables travaux de Georges Lakhovsky il y a près d’un siècle. Nous considérons que la zone de bonne santé correspond à un taux vibratoire moyen de 7000 et 9000 unités Bovis (UB) mesuré par radiesthésie. Depuis plus de dix ans, nous observons que le taux moyen a tendance à augmenter. nous atteignons parfois le record de 9500 UB, voire de 10000 U. Un état qui porte pour certaines personnes à la surexcitation, alors que pour d’autres elle conduit à l’ouverture de l’esprit et de la conscience sur d’autres dimensions. Malheureusement, la baisse de ces fréquences vibratoires est beaucoup fréquente. les causes proviennent d’un mode de vie déséquilibré comme on le connaît trop bien dans notre société: stress, alimentation industrielle, sédentarité, mauvaise respiration, tabac, drogue…Mais entrent aussi en ligne de compte, les pensées négatives sur soi-même et sur les autres, les perturbations géobiologiques des lieux de vie, les champs électromagnétiques artificiels.
Ainsi, lorsque le taux vibratoire passe en dessous de 6000 UB, la personne arrive dans un zone propice à la maladie.
Cette grille possède plusieurs niveaux vibratoires et selon notre propre taux d'émission et de réception, nous entrons en contact avec ceux qui vibrent sur la même fréquence.. Plus notre fréquence s'élève et plus nous pouvons capter de belles choses, du bonheur, de la joie, la santé, la prospérité et tous sentiments positifs et état d'être divins...
Le champ énergétique de la conscience oscille et capte des informations différentes d'une personne à l'autre: l'antenne peut capter beaucoup d'informations ou, au contraire, beaucoup de bruit. L'ajustement, le rythme, va dépendre de notre état émotionnel qui a un effet sur la cohérence neuro-cardio-vasculaire; notre captation sera aussi affectée par notre mode de vie ou par notre environnement. Là aussi, l'échange d'information se fait en permanence. C'est une nécessité car nous sommes faits de quelque 100'000 milliards de cellules. Toute l'information est holographique; elle passe par les molécules d'eau qui structure ensuite l'ADN, et non l'inverse; si l'on retire les 10 couches d'eau présentent dans la structure de l'ADN, plus rien ne se passe!
C'est aussi le cas pour la conscience ou le corps: les cellules s'organisent de façon très complexe à travers le champ d'informations par des feed-back avec l'eau qui doivent être en mesure de coordonner les quelque 100-200 TRILLIONS de réactions chimiques qui se produisent chaque SECONDE au niveau cellulaire à l'intérieur du corps humain ! La même chose se produit avec le spin, le vortex: le tourbillonnement est là où se trouve notre singularité; au centre se trouve la quiétude et plus on l'atteint plus la dynamique tourbillonnaire du spin augmente autour de nous et avec elle l'inspiration ou l'influence autour de nous. Tout cela même à la conscience que nous sommes UN; c'est la plus haute connaissance, celle qui va nécessité de chacun-e des choix qui vont avoir un impact sur le champ morpho-génique; cela se fera par feedback successifs: nous donnons au champ de nouvelles informations dont il va tenir compte et nous donnant de nouvelles informations, etc.
Ces échangent permettent aussi une synchronisation de nos hémisphères cérébraux. La plupart du temps, chaque hémisphère de notre cerveau engendre des signaux qui sont indépendants des signaux générés par l'autre hémisphère. Par contre, lors de certains états d'expansion de conscience, on a observé que l'activité électrique des hémisphères se synchronisait. Les chercheurs ont remarqué que cette synchronisation se produisait au cours de méditations profondes ou de périodes de créativité intenses, lors desquelles les deux hémisphères tendent à s'harmoniser l'un à l'autre pour atteindre un rythme unique et cohérent. Il existerait donc une corrélation entre le comportement de l'homme et l'activité de ses ondes cérébrales.
La synchronisation favoriserait un sentiment d'unicité où l'individu fonctionne d'une façon plus intuitive. Il peut être en son être véritable.
Ce sont les ondes gamma qui le permettent au mieux ; pour favoriser une grande activité cérébrale, il faut associer les 3 cerveaux – reptilien, mammélien et néocortex – à travers de l’intensité, de l’affectivité et de la raison. Qu'en est-il de nos intentions? Pour Philippe Guillemant « La question reste ouverte concernant l'action de la conscience ou le pouvoir de l'intention. Je pressens néanmoins qu'il doit s'agir d'une action électromagnétique, car si l'on considère la capacité de la nature à faire émerger toute la complexité et l'organisation du vivant, en comparaison avec la pauvreté de notre technologie pour ce qui est de fabriquer des systèmes artificiels de type humanoïde par exemple, il est légitime de se demander si dame nature ne maîtrise pas beaucoup mieux que nous la communication électromagnétique et tout ce qui s'en suit. (…) il n'est pas inconcevable que cette information puisse jouer un rôle déterminant et structurant sur nos lignes temporelles.
L'amour dont il est question ici n'est pas l'amour au sens où on l'entend habituellement ni au sens "new-age". Il n'est pas un produit de l'activité cérébrale, contrairement au désir. Il est une essence fondamentale de l'espace intérieur, au même titre que la lumière dans l'espace extérieur. Il s'agit de l'essence du (moteur du) libre arbitre. Si le libre arbitre définit un archétype vers lequel on tend, il faut encore définir la puissance (ou l'intensité) avec laquelle on tend vers la réalisation de cet archétype. C'est ce que j'appelle l'amour, faute de trouver une meilleure appellation, car on tend vers ce que l'on aime, tout simplement. L'amour et le libre arbitre sont indissolublement liés, tout comme une forme (un contenant) est indissolublement liée à son contenu. Cela n'a rien à voir avec l'amour au sens du désir par exemple, car le désir a plutôt l'effet contraire. Et il se traduirait, via la conscience par une intensité et une amplitude des oscillations gamma en lien avec le Tout.
« Être libre, ce n'est pas seulement se
débarrasser de ses chaînes; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la
liberté des autres (Nelson Mandela). »L’irrespect,
explique Stéphane Clerget, c’est ce besoin conscient ou irréfléchi de rabaisser
l’autre, de le nier dans ses droits, dans sa liberté. Bien sûr, il peut se
produire des conduites irrespectueuses totalement involontaires, mais dans
l’ensemble cela procède toujours d’une volonté de toucher, d’atteindre l’autre, de le punir,
l’empêcher, l’entraver, de le vomir ou de le dévorer, de faire le maître dans
sa vie, de l’utiliser comme faire valoir, etc.
À
l’inverse, le respect, c’est reconnaître à l’autre la même humanité, la même
valeur qu’à soi-même. Le
respect est d’abord une attitude existentielle qui consiste à reconnaître que
les opinions, les sentiments, les envies de chacun ont une valeur.