Le langage du mythe est à ses yeux très important: " Le mythe, dans un dictionnaire, est défini comme une fable. Alors je voudrais rectifier un peu les choses, parce que le mythe est le récit de quelque chose qui n’a pas de langage, c'est-à-dire de notre intériorité. Le mystère de notre intériorité. Le mystère va emprunter à l’Homme extérieur son langage pour se dire. Si bien que lorsque nous nous trouvons devant un récit mythique, il faut le verticaliser ou comprendre qu’il ne s’agit pas de le prendre à la lettre, mais d’entrer dans une intelligence profonde de ce à quoi il nous reconduit. Il nous ouvre à la réalité extrêmement mystérieuse, profonde, sacrée de l’Homme intérieur."
Cela nous fait avancer vers une méta-compréhension qui peut se décliner en dialogues fructueux. Je vais illustrer ce propos à travers une comparaison entre le référentiel d' Annick de Souzenelle et principalement la vision de l'Univers connecté de Nassim Haramein.