Depuis que la conscience humaine a fait son apparition dans l’histoire de l’évolution, elle a poussé les humains à chercher comment mieux s’adapter à notre planète, à son environnement ; elle nous a incités à affronter nos peurs, nos angoisses, notre fragilité et bien sûr aussi amenés à nous poser notamment la question du sens de la vie face à la mort, à la souffrance, aux coups du sort, etc. Très tôt, les humains ont dû vivre en famille, en clans ou en tributs pour survivre ; trouver ainsi une juste mesure entre soi et les autres. Très vite aussi, les humains ont inventé des moyens de communication – d’abord par la gestuelle, des grognements puis des langages -, créer des vêtements, des outils et des armes, etc. Chaque clan avait ainsi sa culture, son histoire de groupe. Ses stratégies et son organisation pour répondre aux besoins fondamentaux de la vie résumés par la Pyramide de Maslow : tout ne s’est évidemment pas fait en un jour. Nous pourrions même dire sans nous tromper que l’évolution a d’abord été physique, ensuite avec la vie elle est devenue chimique, pour se complexifier encore en une dimension culturelle. Toutefois, comme l'écrivait G.van der Leeuw, dans son étude de la phénoménologie de la religion, il y a chez l’humain un désir profond de ne pas accepter simplement la vie qui lui est donnée ; il y a donc recherche de puissance – et surtout de sécurité - pour avoir une vie plus riche, plus profonde, plus ample dans une quête du tout tantôt accessible tantôt inatteignable ; elle est expérience particulière, éprouvée, vécue mais aussi révélation jamais entièrement expérimentée dans la vie, référence à quelque chose d'étranger ou d’absurde qui traverse – et dépasse - le chemin de notre humanité en venant contester nos raisons de vivre et nos attentes. Vivre réclame ainsi fondamentalement un Ce-sans-quoi nous serions paralysés, livrés au néant, à la mort, aux forces du chaos.
Le principe de réalité devient celui résumé par la pyramide de Maslow décrivant nos besoins essentiels ou fondamentaux. Chacun-e va s’y atteler de manière personnelle car nous sommes tous uniques dans nos manières de concevoir le monde, dans notre manière de nous y adapter ou de le ressentir : notre environnement nous façonne, mais nous sommes aussi capables d’interagir avec lui, de le modifier même. Chacun-e le fera à partir de son unicité fondamentale car la vie fait de nous toutes et tous des êtres uniques par la combinaison de leur ADN et par la mémoire unique de leurs vécus.
Nous sommes ainsi tous uniques ! Ce qui veut dire bien entendu aussi que nous sommes tous différents ! Nous ne pourrons appréhender les autres, nos semblables qu’à travers nos vécus, les comprendre aussi ou faire preuve d’empathie. Tout passe par notre unicité singulière : l’objectivité sera au mieux une fiction construite ; cela dit l’importance de la communication, de la culture, de l’intersubjectivité. La nécessité d’avoir des valeurs, des repères communs. Lesquels choisir ?
Ce mouvement intellectuel et culturel estime que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort sont des aspects inutiles et indésirables de notre condition humaine ; il prône donc l’usage des sciences, des biotechnologies et des techniques émergentes, pour améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Des entreprises se sont déjà mises au travail, en Chine, en Corée et aux USA, en pariant qu’il y aura toujours une demande et une clientèle fortunée pour acheter leurs produits. Tout récemment, le géant Google s’est lancé dans cette course à l’innovation en devenant le leader mondial de la robotique. En 18 mois, il a acquis les huit principales entités mondiales dans ce domaine et nommé Ray Kurzweil, un inventeur génial dans le domaine de l’intelligence artificiel, comme directeur de son projet. Google a pour objectif de réaliser la fusion entre l’intelligence artificielle et l’intelligence biologique par la création d’êtres hybrides à la fois homme et machine. Pourra-t-on un jour transférer l’esprit humain dans des circuits intégrés ? De telles approches vont engendrer des problèmes éthiques considérables tout particulièrement dans la manière de traiter équitablement les humains améliorés et les autres. Où va-t-on situer la frontière entre la clause du besoin et celle de la nécessité ? Nos démocraties auront grand besoin de repères et de valeurs pour canaliser la soif de profits des entreprises privées et faire respecter les droits universels.
Quant au rêve de repousser indéfiniment la mort, il ne sera sans doute pas réalisé en 2100, mais ne serait-il pas bon de commencer à réfléchir à ce que voudrait dire pour nos structures familiales, pour nos Etats providence, pour nos contrats de travail, pour notre psyché même, une espérance de vie passée de soixante-quinze à cent cinquante ans ?
Le non-sens se vit aussi dans un autre domaine celui de la consommation. Nous cherchons à y assouvir nos besoins et nos angoisses en oubliant qu'un besoin satisfait et comblé disparaît très vite pour être remplacé par une autre besoin qu'il faudra satisfaire...
La recherche de puissance des humains se dit aussi dans celle de la consommation à outrance. Le mythe du bonheur égalitaire-obligatoire ne fait qu’engendrer des espoirs déçus et une insatisfaction collective qui n’ont d’autre choix que de s’inscrire encore plus dans une dépendance consumériste, dans une fuite en avant, un plus de la même chose décrit par l’école de Palo Alto. Cette fuite en avant est comique, car un besoin satisfait en chasse un autre qui revient inexorablement. Mais cette quête inassouvie est aussi tragique dans la mesure où le problème est récurrent et interactionnel : on tourne en rond, essayant la même stratégie encore et encore ; on a choisi une solution qui ne marche pas. Malgré cela, l’homo œconomicus continue à l’appliquer. Quelque chose maintient le problème et ce quelque chose est habituellement une « tentative de solution » qui se répète inlassablement, « vers plus de la même chose ! ».
L’homo œconomicus n’est ni stupide, ni méchant, ni malade. Il est juste aveuglé par son histoire personnelle, sa boulimie de jouissances consuméristes et par sa foi en l’innovation technologique. Cette boulimie de biens à consommer a produit le pillage des ressources de la Terre - épuisées déjà en août, en 7 mois ! – et le gaspillage phénoménale du tout à jeter.
« Nous savons ce que nous devons faire pour reconstruire la vie marine, et nous avons la preuve que cet objectif peut être atteint en trois décennies. Cela demande que nous accélérions nos efforts, et que nous les étendions à des domaines où ces efforts sont actuellement modestes », explique Carlos Duarte, professeur de sciences marines à l'Université des sciences et technologies du Roi Abdullah (KAUST) à Thuwal, en Arabie Saoudite. Des efforts certes coûteux : l'étude estime qu'il en coûtera 10 à 20 milliards de dollars par an pour reconstruire la vie marine d'ici 2050, mais que pour chaque dollar investi, le rendement escompté serait de 10 dollars.
Les chercheurs ont identifié neuf composantes essentielles à la reconstruction des océans : les marais salés, les mangroves, les herbiers marins, les récifs coralliens, le varech (un mélange d'algues brunes), les récifs d'huîtres, la pêche, la mégafaune et les grands fonds. « Si l'on cesse de tuer la faune marine et qu'on la protège, elle revient. Nous pouvons changer les océans et nous savons que cela a du sens sur le plan économique, pour le bien-être de l'homme et, bien sûr, pour l'environnement », explique Callum Roberts, de l'Université de York.
Les auteurs de l'étude sont bien conscients du fait que les gouvernements de la planète ont de nombreuses autres questions en tête en ce moment avec la pandémie du Covid-19. Ils estiment cependant que le sauvetage des océans est un objectif tout à fait réalisable. « Ne pas relever ce défi et, ce faisant, condamner nos petits-enfants à un océan brisé n'est pas une option », conclut le professeur Duarte.
L’arrêt des activités économiques dû à la pandémie mondiale a montré aussi une incroyable diminution de la pollution en Chine, en Europe, en Inde où pour la première fois depuis plus de 30 ans, les habitants du Punjab ont réussi à apercevoir la chaîne de l'Himalaya qui se trouve à 200 kilomètres.
Dans le même laps de temps, la consommation mondiale de pétrole a baissé de 30%..., du jamais vu !
La preuve accidentelle est faite qu’une autre approche plus écologique et respectueuse de notre planète est possible avec des résultats probants faciles à constater. Ne serait-il pas judicieux et temps d’emprunter cette voie pour le bien de toutes et tous ? Vivre en respectant mieux la NATURE et les écosystèmes pourrait bien devenir une nécessité si l’humanité veut s’épargner de nouvelles pandémies issues précisément de la déforestation, de la traque d’animaux sauvages ou des manipulations génétiques de virus notamment. Car il se pourrait bien que le Covid-19 soit une manipulation génétique qui aurait été accidentellement transporté hors d'un des deux laboratoires P4 de Wuhan.
Approche plus spécifique :
Une réponse univoque est impossible à formuler car il faudrait articuler la question du sens avec une vérité indiscutable capable de définir à son tour une destinée spécifique qui permettrait de vérifier le sens que devrait avoir la vie.
Il arrive toutefois qu’elle soit entravée par des chocs traumatiques qui vont orienter notre vie.
Normalement, notre instinct nous pousse à rechercher la sécurité, le contentement en évitant la douleur ou les situations à fort risque d’échec. Cette quête subconsciente et « instinctive » est fonction de nos vécus : elle est donc unique. Elle peut aussi, en cas de trauma grave ou de choc post-traumatique, s’inverser, sombrer dans l’hypervigilance au point que la personne se sent en permanence menacée et inquiète. Elle subit alors un cortège de réactions émotionnelles et neurovégétatives très handicapantes : souffle court, mains moites, transpiration subite, arythmie cardiaque, nausée existentielles, détresse respiratoire, irritabilité, troubles du sommeil, colère, phobies ou détachement envers autrui. Tout est susceptible de raviver les souvenirs douloureux. Une récente étude de l’Université de Porto Rico, parue dans la revue Nature de janvier 2015, a démontré que le rappel de souvenirs traumatiques empruntait des circuits cérébraux différents ; un souvenir
simple passe par l’hippocampe, transite par l’amygdale puis par le thalamus. La réactivation d’un souvenir douloureux, sept jours après l’événement, passe par le cortex préfrontal qui contrôle les émotions, puis par le thalamus - qui est en quelque sorte « le cerveau dans le cerveau » ou si on préfère une gare de triage neurosensorielle gérant nos sensations, nos capacités motrices, les états de conscience, de vigilance et de sommeil – pour être ensuite traité par l’amygdale qui gère les réactions émotionnelles, en particulier la peur. Nous ne sommes donc pas égaux devant nos traumas. Celles et ceux qui en souffrent ont grand besoin que nous en ayons conscience, et plus encore que leurs souffrances soient reconnues comme le son celles de personnes souffrant de maladies physiologiques.
Si tout est bien subjectif, si chacun-e recherche en mode automatique le contentement, veut éviter la douleur, l’échec ou l’impuissance, alors nous sommes bien en affairement permanent destinée à combler nos besoins fondamentaux de confort, de sécurité, de pouvoir, de gloire, de jouissances, si nos vérités sont toujours relatives, animées aussi bien par la raison que par l’émotion.
Selon Boris Cyrulnik, la biologie de l'attachement montre
que nos formes de développements se font selon notre enveloppe sensorielle
unique composée par les figures d'attachement spécifiques (donneurs de soins,
personnages signifiants, institutions et récits culturels). Un même événement
peut ainsi provoquer une catastrophe dans un certain contexte et aucune
réaction à un autre moment.
Le bonheur est une idée récente née au 18 e s. mais elle
est à inscrire en fonction de la notion corollaire du malheur ; le tout
est en fait coloré par notre cerveau d'un sentiment correspondant. Une lésion
dans l'hémisphère gauche provoque régulièrement des accès de mélancolie ;
une représentation anticipée par un sentiment éveillé va solliciter des zones
spécifiques ; certains neurologues déterministes ont voulu réduire nos
comportements via l'ocytocine et la vasopressine. Mais en réalité, les
conditions du lien associent aussi bien la souffrance du manque avec le plaisir
des retrouvailles, le bonheur et le malheur, la peur et la sécurité, l'attachement
avec l'angoisse, l'apaisement avec l'alerte, à travers tous les couples opposés
imaginables ! Le couplage de la peur et de l'euphorie favorise des
comportements ambivalents destinés à favoriser des événements euphorisants dans
une triste existence.
Les sociétés hypermodernes, nous dit V. de Gaulejac, exacerbent la
nécessité de s'affirmer comme individu autonome pour se conformer à l'idéologie
de la réalisation de soi-même. Beau paradoxe puisque chacun doit cultiver son
identité personnelle en se conformant à l'injonction d'être un sujet
responsable de lui-même, de ses actes, de ses désirs, de son existence sociale.
Mais que signifie vouloir être soi-même ?
Selon l’auteur, le JE pose la question de
l'assujettissement comme soumission ou comme libération. Thème qui va se
poursuivre à travers la question de l'individuation via le singulier, le
régulier, le remarquable ou l'ordinaire, des forces interpersonnelles ou
déterministes qui débordent le moi. Avec la globalisation, il n'y a plus de
vrai et de faux mais beaucoup de débordements pulsionnels, culturels et
sociaux. La religion ne fait plus sens, la science n'est plus synonyme de
progrès, la politique est décriée ; le recours à la raison devient alors
irrationnel ou paradoxale ; l'individu ne peut plus fonder ses valeurs propres
dans l'autonomie en hétéronomie avec les pressions sociétales. Tout s'effectue
pour une bonne part à l'insu du sujet (volonté involontaire), dans le refus
d'assujettissement et la volonté d'être. Le sujet advient dans la négation de
ce qu'il est. Il lui faut rompre avec une partie de ce que l'histoire fait de
lui pour se lancer dans le désir de faire société qui s'exprimera en
affirmation de soi ou en inhibition.
Le sujet
individuel et collectif peut être créateur et destructeur de vie. La tension
entre le moi et l'idéal du moi peut conduire à la dépression. L'idéologie de la
réalisation de soi-même renvoie à l'obligation de se faire une place, de
réussir, ce qui charge cette tension. Quand elle s'emballe, le sujet peut,
n'étant pas reconnu par ceux qui représentent le pouvoir, la notabilité ou la
considération vouloir les détruire. Le sujet ne pouvant se réaliser du côté de
l'Eros cherche une issue du côté du Thanatos, dans le refus d'être rien ou
moindre et le désir de puissance.
Pour
Paul Ricoeur, la souffrance est une impuissance à dire, à faire, à raconter, à
s'estimer, donc une impuissance à s'affirmer comme sujet. Mais il y a danger
dans le renoncement à penser, à choisir, à lutter, à prendre en compte son
passé et son avenir en voulant vivre dans le présent pour ne plus se poser de
questions.
La
violence de survie annule toute humanité, toute parole, toute possibilité de
partage de sens.
Cette urgence est vive dans nos sociétés industrialisées. L’absurde règne en maître partout : en nos modes de vie, institutions, en nos lois, nos restructurations, nos changements économiques ou institutionnels. Il y a risque obligé de normalisation. « La société nous tend la main : « Soyez comme nous et vous ne souffrirez plus, soyez des êtres automates et vous n’entendrez plus parler de l’être. » (p.304).» À cette normalisation s’ajoute encore la réification si justement décrite par le marxisme, la transformation, la réduction des êtres à l’état de marchandises, de choses ou d’objets. La dépersonnalisation nous guette et nous incite d’autant plus à réagir pour affirmer notre singularité qui va s’exprimer le plus souvent par une quête de réussites et de mérites personnels.
Pour J.-M. Delassus, l’individu perd la référence à son
inconscient ontologique, et ce faisant se trouve dans l’incapacité de vivre le
rapport de soi à soi dans une harmonie suffisante ; il est alors
impuissant à être son être véritable. Il y a en cette méconnaissance plus qu’un
risque assimilé à la banalité de la vie. « Car l’homme qui ignore le sens
de son être ne pourra que ressentir une insatisfaction profonde qui le ronge.
Sauf à se soumettre pour n’être qu’un automate intégré aux institutions
régnantes, il la combat par l’avidité du pouvoir et la volonté de
détruire ; il s’attache aux choses sans doute,
mais surtout à autrui où il projette ses déceptions et ses rancœurs. L’être
humain est alors l’être qui massacre. Il dépouille, il tue à défaut d’être
parce qu’il y trouve la justification de son moi dans l’appropriation,
l’exploitation ou l’abolition de ce qui s’y oppose (p.322). »
(In :
Jean-Marie Delassus, Neurologie de l'être humain, de la structure à
l'existence, éd. Encre Marine, p.322.)
Nous pouvons prendre la mesure de cette dérive à travers les discours haineux, grotesques ou méchants qui sont devenus la plaie des réseaux sociaux. On s’y défoule certes, mais c’est faute d’être reconnu, faute d’avoir trouvé une reconnaissance juridique, affective, sociale et cognitive. Pour certain-e-s le défoulement haineux est devenu une raison d’être, une manière en tous les cas de se donner de l’importance.
En ce début de 21è
siècle, la radicalisation extrême est en train de faire des ravages et des
carnages.
s’opposent ou divergent ? Il devient urgent et
nécessaire de plaider – avec Pierre Bühler – pour une tolérance existentielle
construite sur des bases très précises et exigeantes faites de réciprocité
sans complaisance : « Ses principes sont les suivants : — il n'y a pas de mainmise sur la vérité ultime ;
— il se peut donc fort bien que l'autre soit dans I
'erreur ou que je sois dans l'erreur, mais cela n'est pas une raison pour lui
manquer ou pour me manquer de respect ;
— une conviction religieuse n'est toujours qu'un pari
risqué sur la vérité, s'exprimant dans un système de croyances dont
l'enracinement n'est jamais objectif, mais subjectif et intersubjectif ;
— une conviction ne dispose pas de preuves, mais
d'arguments plus ou moins pertinents qu'elle peut faire valoir pour son point
de vue ;
— la conviction ne peut se référer à la vérité au sens
d'une totalité, mais seulement comme une vérité crue, confessée, attestée,
vécue ;
— le fait qu'elle se soit imposée à moi ne signifie
pas qu'elle doive s'imposer à un autre ;
— le dialogue est possible parce qu'il en va, dans
toutes les convictions, d'assumer de la manière la plus honnête et franche les
défis de la vie ;
— la rencontre est fructueuse dans la mesure où elle me permet de me redécouvrir moi-même en me faisant découvrir l'autre, et qu'elle permet à l'autre de se redécouvrir lui-même en le faisant me découvrir. »
Les vérités relatives auront ainsi un effet miroir : nous pourrons y voir notre humanité et notre férocité, nos ombres et nos lumières, nos aliénations et nos courages, notre petitesse et notre grandeur, nos sincérités et nos hypocrisies, etc.
Cela ne saurait fonder toutefois la prétendue loi de la jungle ou conduire au chacun-e pour soi !
Ni fonder d’ailleurs la maîtrise de soi par une rationalité omniprésente ou, à l’inverse, par une émotivité incontrôlable. L’une ne saurait être sans l’autre car sans émotions on déraisonne !
Si nous sommes uniques du fait des figures d'attachement spécifiques (donneurs de soins, personnages signifiants, institutions et récits culturels) rencontrées durant notre existence, si chacun-e prend la place de dieu comme créateur de son existence, comme producteur, entrepreneur, révélation de son moi intime, alors nous aurons grand besoin de pratiquer cette tolérance existentielle. Besoin tout autant de repères qui puissent devenir le plus petit dénominateur commun.
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Dans son avancée vers toujours plus de complexité et de
conscience, nous verrons qu’elle a placé l’unicité – tout est unique et
singulier ! – mais aussi, chose plus surprenante la collaboration ou
l’entraide au centre de l'évolution.
Il se pourrait aussi que l'évolution suive une périodicité: c'est la thèse défendue par José Díez Faixat. Selon ses recherches, le cours global de l’évolution ressemble à des escaliers dans lesquels les étapes horizontales alternent, presque sans changements, avec des sauts brusques dans le niveau. Il prédit son achèvement par étapes: Le cycle du contenu « écologique» dans lequel nous sommes immergés en ce moment,C-2, atteindra son zénith d’ici un siècle, vers l’an 2114. Le cycle suivant, C-3, dont l’objectif sera le «désir de réalisation» s’étendra sur la période jusqu’à 2183. Ensuite, le cycle C-4, dont le thème central sera « l’amour universel », atteindra son apogée au début du 23ème siècle, vers l’an 2205. Le cycle C-5, dont l’objectif sera « l’expression créative », se développera jusqu’en l’an 2213.
La « sagesse intégrale » du cycle C-6 atteindra son apogée en l’an 2215. Enfin, la « réalisation spirituelle » de l’humanité aura lieu vers 2217.
L’évolution est entrelacée…Les bactéries et les
champignons présents dans les sols remplissent des fonctions très importantes
pour l'agriculture. Sans eux, « la Terre ressemblerait à Mars », selon une
étude d'Agroscope et de l'Université de Zurich (UZH) publiée récemment dans la
revue « Nature ». Les espèces bactériennes et fongiques occupent même chaque «
emploi » plusieurs fois. Conséquence : si une espèce vient à disparaître, la
suivante peut simplement prendre le relais. Cela signifie que les sols
fonctionnent même en cas de périodes de chaleur prolongées, de stress dû à la
sécheresse ou d'autres influences environnementales.
Sans cet entrelacement, l’humain n’existerait pas. Pour
s’en convaincre, faisons un petit zoom sur notre intestin et sa flore
intestinale, l'ensemble des micro-organismes qui se trouvent dans le tube
digestif, soit 100’000 milliards de bactéries.
La flore intestinale d’un être humain adulte peut peser entre 1,5 kg
et 2 kg. Mais nous sommes tous uniques, avec un microbiote (c'est à dire une
flore intestinale) qui nous est propre. Environ 1’000 bactéries intestinales
différentes ont été répertoriées.
Pourquoi cette flore est-elle si importante ? Parce qu’on trouve dans l’intestin des millions de neurotransmetteurs, les mêmes que ceux produits dans le cerveau et particulièrement la sérotonine qui est fabriquée en grande partie dans le système nerveux intestinal. On retrouve plus de problèmes de dépression et d’anxiété chez les personnes atteintes du côlon irritable, atteignant jusqu’à 75% dans certaines études.
Le système nerveux intestinal, ou système nerveux
entérique, est constitué de 300 millions de neurones. Il produit à travers
l’intestin entre 70 et 80% des cellules immunitaire. Ainsi, la flore
intestinale stimule la formation des cellules immunitaires et contribue à les
rendre vigilantes et plus actives. Notre santé dépend pour une bonne part du
bon équilibre de cet écosystème intestinal. La flore a un rôle de détoxication.
Elle est capable de dégrader certaines substances toxiques provenant de
l’extérieur ou produites au cours de la digestion. La flore a aussi comme rôle
d’empêcher les germes pathogènes qui sont ingérés quotidiennement de
s’implanter dans le tube digestif ; on parle d’un effet « barrière ».
Si l'évolution est entrelacée, si elle tend vers toujours plus de complexité et de conscience, elle a aussi favorisé deux éléments décisifs: le cerveau moral et religieux.
Il va devoir interagir avec deux autres dimensions le cerveau limbique siège de nos émotions, et le cerveau reptilien, le cervelet, qui gère notre instinct de survie. Nous fonctionnons ainsi à 3 cerveaux
Sous ce titre accrocheur, doublé d’un sous-titre très éloquent- quand
la science explique la religion- Andrew Newberg et son équipe ont publié leurs
conclusions, en français aux éditions Sully en 2003.
Pour eux, en résumé, Pourquoi « Dieu » ne disparaîtra
jamais:
- le cerveau crée l'esprit et l'esprit ne peut exister
sans le cerveau. L'esprit a un potentiel mystique il peut entrer dans des états
modifiés de conscience. Les mystiques parviennent à bloquer la séparation du
soi et du non soi, de sorte que le soi est sans fin, en interdépendance avec ce
que le mental aura ressenti.
- Nous investissons d'une valeur émotionnelle tous nos
comportements, nos pensées rationnelles et nos raisonnements humains. Le
cerveau nous fait chercher avec intensité et passion la compagnie des autres
(sexualité, reproduction, enfant, survie, etc.). Les expériences religieuses et
spirituelles sont liées à cette valeur émotionnelle, de sorte que Dieu est
nécessairement lié aux structures physiologiques du cerveau.
- La structure des mythes répond à un même schéma
cohérent: identifier une inquiétude existentielle cruciale, formuler cela en
une paire d'opposés incompatibles, puis trouver une solution qui soulage
l'anxiété et nous permette de vivre plus heureux dans le monde.
- Une pensée unique entretenue indéfiniment agissant de
haut en bas peut conduire à des niveaux ultimes, à des états unitaires profonds
dans lequel l'esprit existe sans ego dans un état de pure conscience
indifférenciée, dans un sentiment absolu d'unité, sans pensée, sans parole,
sans sensation. Dans l'Existence unitaire absolue au-delà des limites du sujet
et de l'objet, le soi se fond dans autrui. L'Esprit et la matière sont une
seule et même chose.
- Un maître a dit: « Si j'avais un Dieu que je pouvais comprendre, je ne le considérerais pas comme Dieu. Si vous comprenez quoi que ce soit à son sujet, alors il ne s'y trouve pas, et en comprenant quelque chose de lui, vous tombez dans l'ignorance. » Toutes les personnifications de Dieu sont des tentatives symboliques de saisir l'insaisissable à travers l'intuition d'une réalité plus vaste, le sentiment plus profond et plus sublime de la réalité que notre esprit peut percevoir en un lieu où tous les conflits sont résolus, la souffrance prend fin, l'unité et le bonheur sont possibles. C'est dire qu'elle contient l'espoir d'un futur heureux qui nous permette de surmonter l'avidité, la méfiance et les peurs auto protectrices. Notre cerveau nous porte naturellement vers un excès égotiste, mais il nous fournit aussi la mécanique avec laquelle il devient possible de transcender l'ego, possible de sortir d'une existence purement matérielle pour aller vers une existence spirituelle, vers un Dieu supérieur, en un lieu absolu d'unicité où tous les désirs sont apaisés.
Même s’il faut prendre certains résultats scientifiques
avec prudence, les résultats de la neurobiologie montrent que l'évolution a
privilégié l'émergence d'un cerveau moral: nous avons donc instinctivement des
réflexes. Ainsi, nous répugnons naturellement à faire souffrir – sauf quand
nous nous sentons menacés ou qu'il faut punir – nous recherchons l'équité (la
justice), nous sommes capables d'empathie, nous sommes réactifs à la souffrance
des autres. Ce sens moral « primitif » serait l'une des origines des
religions, l'autre étant la mise en évidence de notre cerveau religieux décrit
par Andrew Newberg et Eugene d'Aquili: ici aussi, l'évolution nous a doté de
capacités spécifiques nées de l'interaction entre au moins 4 acteurs:
l'hypothalamus, la plus vieille structure du système limbique – sorte de
commandant en chef – qui peut calmer ou exciter le cerveau et produire des
émotions comme la fureur, la terreur, le plaisir modéré ou la béatitude. Il
peut affecter n'importe quel organe ou partie du corps. Le chien de garde:
l'amygdale. C'est elle qui donne à nos émotions leurs nuances subtiles (amour,
amitié, affection, défiance); elle est à la recherche de toute information qui
représenterait une nécessité d'agir, ou un signe de danger, ou encore quoi que
ce soit d'autre qui voudrait que l'esprit y porte attention. Pour interagir,
elle doit toutefois passer par le commandant en chef. Le diplomate:
l'hippocampe. Il fonctionne en lien avec l'amygdale. C'est lui qui relie les
sensations, les émotions, à des images, à la mémoire à court et plus long
terme, à l'apprentissage. Ces 3 structures vont interagir avec une 4è: le
néocortex, et permettre l'émergence d'opérateurs qui nous sont spécifiques.
L'opérateur holistique qui nous permet de voir le monde comme un tout,
l'opérateur réducteur qui nous permet de nous attacher aux détails. L'opérateur
d'abstraction permettant de voir le lien entre deux faits séparés. L'opérateur
quantitatif qui nous permet de classer, d'ordonner, d'estimer le temps, les
distances, etc. L'opérateur causal qui s'attache au comment et au pourquoi.
L'opérateur binaire qui s'attache à l'existence des opposés tout en donnant un
sens fondamental aux choses. L'opérateur existentiel qui nous donne la
sensation que ce que le cerveau nous fait voir est réel. L'opérateur à valeur
émotionnelle qui nous permet de sentir ce qui nous arrive. Sans ce dernier,
nous serions comme des robots. C'est lui qui nous donne la sensation de soi.
De ces opérateurs sont nés les mythes et les légendes
dont la fonction première est de répondre à des situations menaçantes en
donnant du sens au monde et à ce qui nous entoure. Le rituel lui tend à
permettre la transcendance de soi et la fusion dans une réalité plus vaste. Sa
première fonction est de transformer des histoires ou des représentations, en
expériences, en sensations et en actions. La force du rituel réside dans la
possibilité de ce dernier de fournir aux croyants une preuve fondée sur leur
expérience, leurs sensations qui prouveraient la véracité du mythe à travers
l'accès à un état unitaire. Chaque état unitaire est provoqué par les effets
sensoriels d'un comportement rythmique répétitif qui va en délimiter
l'intensité de bas en haut – du corps vers l'esprit – ou de haut en bas avec le
rituel d'une pensée répétitive. La stimulation de l'hypothalamus peut
déclencher un état psychologique allant de la sensation légèrement agréable à
des sentiments d'extases. De même une activité intense et soutenue de psalmodie ou de prière va
stimuler le système de tranquillisation qui, s'il est poussé à des niveaux
intenses va activer directement des
effets inhibiteurs de l'hippocampe avec pour résultat final le brouillage de
l'aire de l'orientation qui pour finir va estomper le pourtour du sentiment de
soi.
L’approche neurologique de Newberg et de son équipe
montre que les humains ne s’accrochent pas à Dieu parce qu’il leur manque le
courage de faire face au monde sans lui. Elle indique au contraire que « Dieu
n'est pas le produit d'un processus cognitif et déductif, mais qu'il a été au
contraire « découvert» lors d'une rencontre mystique ou spirituelle portée
à la connaissance de la conscience humaine par le mécanisme transcendant de l'esprit.
Autrement dit, les humains n'inventent pas un Dieu puissant de façon cognitive
pour dépendre ensuite de cette invention, pour acquérir le sentiment de
contrôle. Au contraire, Dieu, dans la définition la plus large et la plus
fondamentale du terme, est d'abord éprouvé dans une spiritualité mystique. Ces
expériences unitaires intimes de la présence de Dieu font apparaître alors la
possibilité de contrôle (p.196). » Des vérités essentielles vont devoir être
traduites de manière rationnelle en croyances spécifiques. Ces dernières
devaient apporter des avantages physiques, psychologiques et sociaux pour que
les comportements religieux puissent être meilleurs pour la survie.
« Les racines neurobiologiques de la transcendance spirituelle montrent que l'Existence unitaire absolue est une possibilité plausible et même probable. De toutes les surprises que notre théorie a à offrir - que les mythes sont poussés par des compulsions biologiques, que les rituels ont été formés intuitivement pour déclencher des états unitaires, que les mystiques ne sont pas, après tout, nécessairement fous et que toutes les religions sont des branches du même arbre spirituel - le fait que cet état unitaire ultime puisse être soutenu rationnellement nous étonne le plus. La réalité de l'Existence unitaire absolue n'est pas une preuve définitive qu'un Dieu supérieur existe, mais elle est un solide argument pour l'idée que l'existence humaine est bien plus qu'une existence purement matérielle. Nos esprits sont tirés par l'intuition de cette réalité plus profonde, ce sens absolu d'unicité, où la souffrance disparaît et où tous les désirs sont apaisés. Tant que nos cerveaux seront constitués de la façon qu'ils sont, tant que nos esprits seront capables de ressentir cette réalité profonde, la spiritualité continuera de donner forme à l’expérience humaine, et Dieu, quelle que soit la façon dont nous définissons ce concept majestueux et mystérieux, ne disparaîtra pas (p.251-252). »
L'évolution nous a fait cadeau d'un cerveau moral et religieux, d'un assemblage complexe et performant:
1) Le cerveau
préfrontal est un des quatre centres de décision du cerveau humain. Il n’existe
que chez l’homme et quelques espèces d’animaux… Sa spécificité? L’intuition, la
créativité, la sérénité, la bonne prise de décision, etc. Il apporte des
solutions inédites et performantes dans des situations complexes et inconnues,
que les autres centres du cerveau ne peuvent résoudre sans douleur ni stress.
Le préfrontal reconstitue à chaque instant la réalité; il a accès aux trois
étages plus anciens du cerveau ainsi qu’à la mémoire… Le plus ‘conscient’ de
ces étages est le néolimbique qui contient le mental, l’ego dans le sens
courant du terme, cette grosse voix intérieure, ce monologue incessant qui
dicte notre conduite, nous critique souvent, nous félicite plus rarement… Le
néolimbique, siège de l’apprentissage, applique ce qu’il a expérimenté et
conclu depuis notre naissance.
C’est un peu comme le gestionnaire de nos croyances, de nos valeurs, nos pensées, nos comportements conscients et inconscients. Dans le but de nous protéger, le néolimbique veut tout régler, tout décider. Parfait serviteur , il cherche à devenir le maître en cas de situation complexe et inconnue, en voulant à tout prix imposer sa décision – au lieu de laisser le préfrontal s’en occuper. Et dans ce cas, le préfrontal n’a d’autre solution que de ‘ déclencher le stress ‘ – qui est donc à la base le signal d’alarme au niveau corporel d’une pensée inadéquate sur le moment, tout comme la fièvre prévient d’un virus ou d’une inflammation, et la douleur d’un dysfonctionnement physique…
En
reproduisant sans cesse les même schémas inconscients, notre esprit
‘néolimbique’ crée irrémédiablement la même réalité, cette ‘zone de confort’
pas si confortable que cela, mais que nous connaissons bien et quittons
rarement, parce que l’inconnu fait peur… et comme le dit Thomas Dansembourg, «
Notre esprit fait tout pour nous ‘maintenir un niveau de malheur supportable’
».
2) Selon
les études de Mme Tali Sharot, professeur en neurosciences et en psychologie à
l’University interactifity Collegede Londres, l’optimisme est une
caractéristique commune à 80 % de la population humaine. Les travaux réalisés
par l’équipe du Pr Sharot en IRM fonctionnelle (technique d’imagerie du cerveau
en action) montrent que plus une personne est optimiste et plus deux régions
cérébrales particulières, impliquées dans les émotions (l’amygdale) et la
motivation (le cortex cingulaire antérieur rostral), vont s’activer
exagérément. Comme si les bénéfices attendus étaient surestimés. En cas de
mauvaises nouvelles ou de pronostic défavorable, le gyrus frontal inférieur
gauche répond intensément alors que le gyrus frontal inférieur droit,
normalement responsable du traitement des menaces, demeure moins actif et plus
paresseux. La Pr Sharot pouvait ainsi affirmer «
Nous avons découvert que le biais d’optimisme se maintient quoi qu’il arrive,
car les gens corrigent plus sensiblement leurs prédictions en réponse à des
informations positives concernant le futur qu’en réponses aux informations
négatives. »
Notre cerveau est donc programmé pour nous aider à voir la vie en rose. Il pourrait d'ailleurs s'agir d'un mécanisme beaucoup plus large que nous traiterons plus en détails en abordant la question d'une Conscience étendue.
Notre connaissance de l’univers demeure fragmentaire et
sujette à interprétations diverses et variées ; on peut y déceler deux
grandes familles : les déterministes pour qui l’univers est une machine
très complexe capable de combiner des possibles à partir de lois connues, d’autres
encore à découvrir, du hasard qui fait parfois bien les choses ou de
coïncidences heureuses apparues contre toute attente. Pour les déterministes
toutefois, nous sommes jetés dans un univers auquel nous devons tout arracher,
notre survie comme notre sécurité.
Le second courant de pensée
aborde l’Univers comme un Être vivant. Max Planck y fit allusion en 1944,
au cours d'une conférence qu'il prononça à Florence, en Italie. Il osa alors
une affirmation qui ne fut sans doute pas très bien comprise par les
scientifiques de l'époque. Ces paroles prophétiques sont aussi innovatrices en
ce XXIe siècle qu'elles l'étaient quand il les prononça ces mots :
"Ayant consacré toute ma vie à la science la plus rationnelle qui soit, l'étude de la matière, je peux vous dire au moins ceci à la suite de mes recherches sur l’atome : la matière comme telle n'existe pas ! Toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu'est l'atome. Nous pouvons supposer sous cette force l'existence d'un Esprit intelligent et conscient. Cet Esprit est la matrice de toute matière."
Ici, l’Univers est vivant…Dites, et si c’était
vrai ? S’il y avait derrière les apparences Quelque Chose dont tout
serait issu nous les humains y compris ? Quelle conséquence majeure en
découlerait ?
En mode basique, nous fonctionnons à quatre
dimensions : il y a le niveau physique, biologique, psychologique et socio-culturel
qui peuvent être plus ou moins développés ou hiérarchisés selon nos histoires
personnelles et nos compétences naturelles ou acquises. Si l’Univers est une
Matrice vivante, il y aura nécessairement une 5è dimension trop
systématiquement oubliée, car écartée et décriée par le courant borné des
scientifiques déterministes, une dimension bien réelle qui néanmoins fait de
nous toutes et tous littéralement des enfants de l’éther.
Il avait prédit contre l'avis de tous, la structure
holographique de l'Univers, la nature omniprésente des trous noirs dans le
cosmos, la nature structurée du "vide" (qu'il ne l'est plus) ... Car
l’idée que l’espace ne soit pas vide semble maintenant faire l’objet d’un
consensus scientifique général. Ce qui habite le vide quantique cependant
demeure controversé : il pourrait, selon les déterministes, n’y avoir
qu’une sorte de super gravité…, donc aucun Esprit intelligent et conscient.
Le corps humain est fait de 10 puissance 48 particules, toutes remplis de "ce vide à 99,999999 % (Pour rappel 10 et 48 zéros ... "C'est TRÈS GRAND "). Plus que jamais, nous ne sommes pas notre corps, nous ne sommes pas faits de chair et de sang uniquement ...
Mais NOUS AVONS un corps ...fait de 99,999999 % de cette
Énergie universelle qui pourrait bien être en lien avec ce qu'on nomme l’éther,
le vie quantique, le champ et LA CONSCIENCE.
Le champ qui interconnecte
tout l’univers est bien réel, quel que soit le nom que nous lui donnons et
quelles que soient les lois de la physique auxquelles il se conforme ou non. Il
est ici en cet instant même ; il existe sous la forme de vous et de moi. Il est
aussi notre univers intérieur et extérieur, le pont quantique entre tout ce qui
est possible dans notre esprit et ce qui devient réel dans le monde.
S’il existe une Matrice, un Esprit intelligent et
conscient, alors l’Univers est holographique et vivant. Nous sommes reliés à
lui que nous le voulions ou non.
Peut-on dès lors continuer longtemps à dire chaque matin
en regardant le miroir : Je suis ... en voyant ce corps que nous prenons pour
nous ! Peut-on continuer encore, à penser qu'on est seul, dans notre fors
intérieur ... alors que nous sommes une expression de cette Conscience
multi-connectée et reliée à toute chose dans l’Univers !
"L'espace dans lequel se meuvent électrons et
galaxies est-il vide ou plein ? De tout temps, les philosophies traditionnelles
ont énoncé qu'une substance non-matérielle précède la création matérielle et
sous-tend toute chose. Les physiciens ont longtemps admis l'existence d'un
éther, jusqu'à l'avènement de la Relativité Restreinte et les expériences de
Michelson. Dès lors, ils considèrent que l'espace est vide. Mais cette vision
ne fait pas l'unanimité et suscite des controverses. La physique quantique
réinvente l'éther sans le nommer sous l'appellation d'énergie quantique du
point zéro. C'est l'énergie du champ électromagnétique qui subsiste lorsque la
température descend au zéro absolu et qui produit une mer fourmillante de
particules éphémères. L'évaluation de la valeur de cette énergie conduit selon
les modèles mathématiques envisagés, soit à une énergie infinie qu'on ramène à
zéro par un artifice, soit à une énergie finie mais gigantesque. De son côté,
la cosmologie a été amenée à inventer une énergie noire qui pourrait
s'identifier à l'énergie du vide quantique... si sa valeur n'était pas
terriblement plus basse (Alain Boudet)."
L’approche classique ne sait pas comment résoudre ce qui a été appelé la catastrophe du vide. Pour y parvenir, il faut d’abord se rappeler la décision de normaliser l’énergie du vide.
RENORMALISATION DE L'ENERGIE DU VIDE QUANTIQUE
La physique quantique s'est aperçue que plus une
particule est petite et a une durée de vie courte, plus son énergie est
importante. Et comme nous savons que ce que la physique appelle faussement
"le vide" n'est pas vide (et ne peut pas l'être intrinsèquement) mais
rempli à chaque seconde de fluctuations quantiques, c'est à dire de particules
minuscules (subatomiques) qui apparaissent et disparaissent à des échelles de
temps infimes, ces particules infiniment minuscules et d'une durée de vie
infiniment courte ont une énergie extrêmement grande.
Par cet état actuel des choses, il en résulte que chaque
cm3 d'espace est en fait rempli d'une énergie infinie (littéralement). La
physique a donc renormalisé cette valeur en ne gardant en compte que les
fluctuations quantiques (ou particules quantiques) d'une durée de vie
SUPERIEURE au temps de Planck (10-44s).
En ne gardant donc que les particules
"virtuelles" (appelées comme ça car d'une durée de vie inaccessibles
à nos sens mais bien réelles) avec une durée de vie SUPERIEURE au temps de
Planck, la densité du vide dans un cm3 est égale à 93g/cm3. Le vide n'est pas
vide, il est plein.
Vous pouvez voir sur cette image un cm3 de
"vide" ou plutôt des milliards de fluctuations quantiques du vide qui
apparaissent et disparaissent de ce champ du vide invisible à l'oeil nu (et à
nos instruments actuels).
Nous savons depuis des décennies que le champ du vide
(autrefois appelé éther) n'est pas vide mais contient de l'énergie.
Le débat scientifique est de savoir quelle quantité
d'énergie ?
La théorie quantique dit 10^93g/cm3 (ce qui est énorme
même après avoir été renormalisé) et l'observation cosmologique, à l'échelle de
l'univers, dit 10^-29g/cm3 ce qui est très faible.
Dans ce modèle, l’énergie – ou information – de chaque
système sphérique est proportionnel au nombre d’Unités Sphériques de Planck ou
au nombre de voxels dans le volume sphérique rapporté au nombre de voxels
disponibles sur l’horizon de la surface sphérique. Cette relation holographique
entre l’intérieur et l’extérieur définit la densité de masse-énergie du système
(volume/surface : masse holographique), tandis que le rapport inverse
(surface/volume : masse au repos) définit la masse exprimée par le système à
tout moment.
Quand on se représente la masse du proton en termes de
voxels qu’il contient, nous trouvons une densité de masse énergie équivalente à
la masse de l’Univers. Et ce qui est encore plus surprenant, c’est que si l’on
étendait l’énergie du vide présente dans le volume d’un proton au volume de
l’Univers, la densité d’énergie du vide de cet Univers serait égale à la valeur
de la constante cosmologique ; 10-29g/cm3 !
En outre, la valeur trouvée par cette approche nous donne
la valeur exacte pour la matière noire, suggérant que la matière noire est le
résultat de l’énergie intérieure du proton ou autrement dit la densité
d’énergie du vide à l’échelle du proton.
De même, lorsqu’on observe l’énergie extérieure
disponible sur l’horizon de surface de notre univers en termes de voxels de Planck,
l’énergie se trouve correspondre exactement à la densité critique de l’Univers
(10^55g) sans avoir besoin des matière et énergie noires. C’est-à-dire que si
nous considérons ce rapport volume-surface, entre la densité d’énergie du vide
à l’échelle de Planck (10^93gm/cm3) et l’énergie disponible à la surface d’un
horizon sphérique en expansion, lorsque la surface de cet horizon aura atteint
la taille de notre univers, la densité du vide quantique de cet univers aura
décru de 122 ordres de magnitude.
C’est comme si un proton s’était échappé d’un autre
univers et était entré en expansion pour former notre Univers, un peu comme le
super-atome primitif en expansion de Lemaître. Donc on pourrait conclure
d’après notre compréhension de l’énergie – ou de l’information – que l’univers
est en expansion accélérée parce qu’il apprend de lui-même et nécessite ainsi
plus de surface pour stocker l’information holographique. Le taux d’expansion
est ainsi régi par un gradient de pression représentant le potentiel de transfert
d’informations de l’intérieur vers la surface.
Ce point de vue quantifié de l’univers est non seulement
capable de résoudre la catastrophe du vide mais offre également un aperçu de
l’évolution de notre Univers et de ses dynamiques, ceci à toutes les échelles.
On nous a tous appris que l'espace-temps
"courbes" selon la théorie de la relativité d'Albert Einstein,
cependant cette courbe ne tient pas compte du fait que tout dans l'univers, à
toutes les échelles, tourne. Nassim Haramein a ajouté le couple et Coriolis les
forces aux équations déposées d'Einstein pour tenir dûment compte du spin de
toutes les choses. En faisant cela, Haramein a développé des équations qui
prédisent que la topologie d'un trou noir n'est pas seulement celle qui se
courbe vers la singularité, mais se dirige vers le calme, comme l'eau qui
descend dans le drain. Quand vous retirez le bouchon de votre baignoire, l'eau
n'est pas juste courbe et descend directement le long du chemin le plus direct
dans l'entonnoir.
La structure de l'espace-temps est une fleur infinie de la fleur de la vie. En d'autres termes, l'espace lui-même est fait de minuscules paquets d'énergie : la plus petite vibration que le spectre électromagnétique manifeste. Ces petits paquets sont ce que vous pouvez penser comme les " pixels " qui forment l'univers et puisqu'ils ne sont pas carrés, mais sphériques, ils sont en fait appelés " Voxels ".
D'abord découvert par Max Planck, la plus petite distance
que vous pouvez mesurer est la longueur de cette onde fondamentale universelle
- de la longueur de planck : 0.000000000000000000000000000000000001616 cm.
Nassim Haramein appelle ces petits paquets d'énergie les
unités sphériques Planck (PSU) parce qu'elles sont sphériques, comme la plupart
des autres structures que l'univers crée à toutes les échelles. Ces ondes
sphériques se chevauchent et se chevauchent parfaitement pour former la fleur 3
d de la structure de vie de l'espace lui-même.
" Le tore , ou modèle primaire, est une dynamique énergétique
qui ressemble à un beignet - c'est une surface continue avec un trou dedans.
L'énergie coule à travers une extrémité, circule autour du centre et sort de
l'autre côté. On peut le voir partout - dans les atomes, les cellules, les
graines, les fleurs, les arbres, les animaux, les humains, les ouragans, les
planètes, les soleils, les galaxies et même le cosmos dans son ensemble."-
Nassim Haramein
« En très peu de calculs, nous avons presque éliminé
le besoin d'avoir une théorie quantique. Nous avons solutionné la structure
atomique en considérant tous les atomes comme des mini trous noirs. Une
minuscule singularité dans l'espace en rotation très rapide sur elle-même qui
constitue notre monde, où que nous regardions, tout ce que vous voyez, tous les
atomes de votre corps, les milliards d'atomes qui constituent votre corps...
des minuscules trous noirs qui absorbent et irradient des photons, échangeant
de l'information avec la structure du vide dans un mouvement de va et vient
continuel entre ce qui est à l'intérieur d'eux-mêmes et ce qui est à
l'extérieur, Nassim Haramein . »
Ainsi, l’Espace-temps se courbe vers la singularité dans une direction dans le premier tore et dans la direction opposée dans le second tore.
Cette singularité se trouve entre les 2 tores : elle représente l’immobilité au centre de toute la dynamique. Le flux d’information au travers de l’horizon des événements est équivalent dans chaque direction : vers le centre (gravité) et à l’opposé du centre (champ électromagnétique).
"Comme le prévoyait déjà les équations de physique quantique, l’énergie contenue dans le vide tend vers l’infini, ce qui correspond aux caractéristiques déjà connues d’un trou noir. La création de la matière visible (vitesse vibratoire inférieure ou égale à celle de la lumière) est expulsée depuis le centre de ce double vortex dans le champ électromagnétique qui caractérise notre univers tandis que son double corrélé est expulsé de façon synchrone dans le champ informationnel invisible (vitesse supérieure ou égale à celle de la lumière), les deux faces de la création étant à jamais liées instantanément par cet équilibre générateur. L’astrophysique vient de confirmer la présence d’un trou noir au centre de chaque galaxie observable. La matière visible est donc une émanation de l’énergie du vide inversement corrélée à son double informationnel. L’expansion de l’univers visible a pour pendant la contraction du champ informationnel. Ce processus de double création explique en particulier le phénomène de l’intrication, à savoir les interactions instantanées constatées mais encore inexplicables en physique relativiste entre deux particules co-crées quelle que soit la distance qui les sépare avec une vitesse de communication excédant celle de la lumière.
Le cubohectaèdre est la géométrie de base, la forme d’équilibre qui structure l’espace entre la formidable puissance d’absorption d’un trou noir (champ gravitationnel) et l’expansion de l’univers réalisé (champ électromagnétique). Le double vortex enchâssé dans la structure géométrique du cubohectaèdre est la dynamique de l’espace dont l’énergie est infinie et qui se comporte comme un super fluide, à la fois lien omniprésent et source de tout ce qui est. Ce double mouvement inversé et superposé établit de façon synchrone la création de l’univers visible d’une part (le côté radiatif, le champ électromagnétique) et le feedback informationnel d’autre part (le côté contractif, le champ gravitationnel). Ce double tore est présent en toute chose, de la galaxie au quark en passant par les êtres vivants. C’est ce double mouvement de création et de feedback informationnel, intimement corrélé, qui permet la conscience qui ne peut être, par nature, que réflexive. La conscience n’est donc pas un épiphénomène mais découle de la nature même du processus de création permanente de la réalité à partir de l’énergie infinie du « vide ». Comme cet espace que l’on qualifie faussement de « vide » représente 99.99999% du tout, cette énergie est partout, en toute chose, en tout être et disponible de façon illimitée (Erik Gruchet). »
En réalité, "Chaque substance émet ses propres vibrations de longueur d'ondes précises, comme si elle chantait sa propre mélodie" (Annie Jump Cannon, astronome).
Le modèle de l’univers holofractographique de Nassim Haramein révise le modèle des trous noirs en modifiant la Topologie de la dynamique et de la structure de l’Espace-temps.
Plutôt qu’un trou noir décrit comme un entonnoir se courbant vers une singularité, un point, Nassim décrit un trou noir comme ayant la forme et la dynamique d’un tore, qui permet à l’information à la fois d’imploser et d’être en expansion depuis la singularité centrale.
Au lieu d’une information qui serait aspirée et disparaîtrait pour toujours pour on ne sait où, les trous noirs sont décrits à la fois comme des objets rayonnant et des « trous » qui implosent.
Ce changement fut réalisé par Nassim en ajoutant la dynamique du spin (moment de torsion et forces de Coriolis) dans les équations relativistes d’ Albert Einstein.
Dans ce modèle, la topologie universelle de l’espace-temps (des trous noirs à toutes les échelles) est décrite comme un double tore en rotation qui passe continuellement par une phase d’expansion puis par une phase de contraction sur lui-même.
Tandis que l’espace-temps se courbe vers la singularité au centre, il décrit également une boucle, comme l’eau passant dans un siphon. Plutôt que de décrire la gravité en utilisant l’analogie de la balle sur un trampoline (surface plate), le nouveau modèle de Nassim décrit la gravité pour ce qu’elle est vraiment, une dynamique en boucle qui se produit dans un espace-temps en « 3D », et non sur une surface « plate ».
Cette courbure de l’espace-temps à toutes les échelles est la source mécanique du spin à toutes les échelles des atomes aux planètes, des étoiles aux galaxies, etc… La matière est en rotation à toutes les échelles car l’espace qui définit cette matière est lui-même en rotation.
Tandis que l’espace-temps se courbe vers une singularité, il approche la vitesse de la lumière, générant d’énormes forces centrifuges, qui à leur tour, causent une expansion.
Cette expansion de l’espace-temps est finalement rattrapée par la courbure de l’espace et se contracte à nouveau vers la singularité, maintenant le système en mouvement perpétuel.
C’est ce processus continu de contraction et d’expansion qui produit les forces de gravitationnelles et électromagnétiques.
Le champ gravitationnel est généré alors que l’espace-temps se courbe vers la singularité au centre du système et le spectre électromagnétique est produit quand les forces centrifuges du spin à l’horizon des événements (qui sont proches de la vitesse de la lumière près de la singularité) provoquent son expansion et son rayonnement.
La spiritualité est dans la matière ; quand nous méditons, nous allons à l'intérieur ; ce qui fonde la vision à distance, la télépathie, etc. Nous sommes tous connectés à la même énergie qui est accessible à tout moment.
Ainsi, nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est aussi le mouvement de la conscience qui nous informe par rétroaction que nous existons. C'est la structure du double tore qui le permet. C'est un échange permanent d'informations qui nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence la réalité.
La création est continue à tous les niveaux de la singularité ; quand la double tore et l'effet Coriolis s'équilibrent vers la singularité, alors le trou noir produit de la matière, les galaxies, et cela tout le temps. Le trou noir devrait s'écrire TOUT parce qu'il est la structure fondamentale du vide. Il n'absorbe pas seulement, il diffuse aussi de l'information, ce sont des trous noirs/blancs comme le ying et le yang. Les structures du vide et les fluctuations qui s'y déroulent sont à l'origine de tout et nous sommes en constantes relations.
En réalité, une mer d’énergie spatio-temporelle existe au niveau le plus fin qui soit
significatif pour définir notre relation à l’univers : le champ de Planck.
Autrement dit, l’espace-temps est quantifié en minuscules vibrations au niveau
quantique. Nassim Haramein les appelle Unités Sphériques de Planck (tout en
sachant qu’elles sont en fait toroïdales).
Ces sphères tournent depuis le niveau quantique, entraînant la rotation de tous les objets dans l’univers. Ainsi, la matière tourne car l’espace-temps qui définit la matière tourne à la base. Et non seulement la pixellisation de l’espace-temps explique la rotation mais elle permet de décrire la gravité quantique.
Tout existe déjà dans cette matrice quantique, en tant qu’énergie. A notre échelle, nous ne percevons ni la granulosité ni l’énergie du champ de Planck. L’espace-temps nous semble lisse, la matière semble occuper l’espace. Ce n’est qu’une apparence. En fait la matière n’est pas dans l’espace, elle est une extension de l’espace, une extension du champ d’énergie de Planck. Elle est manifestée à partir de l’énergie du vide, retourne dans le vide, se manifeste à nouveau, etc. grâce à la dynamique toroïdale fondamentale de l’espace-temps. Chaque fois qu’elle se manifeste, elle le fait cependant avec de légères différences. Parce que l’information dont elle est porteuse a été influencée par tout ce qui s’est créé entre-temps. De fait, la création de la matière suit un processus de rétro‐alimentation.
Au fur et à mesure que la matière est manifestée, l’information dont elle est porteuse s’encode sur la structure de l’espace. On pourrait dire aussi que l’information s’encode progressivement, à mesure que l’expérience se manifeste, à tous les niveaux dans l’Univers. Cet encodage témoigne en quelque sorte du chemin parcouru. Il s’inscrit dans l’espace sous forme de coordonnées spatio-temporelles.
"L'espace-temps se courbe et se tord sur lui-même en spirale-vortex. Cela génère du spin, un moment cinétique. [...] C'est la source du spin de toute chose. C'est une façon appropriée de décrire de manière factuelle la physique du moment cinétique de l'univers. Donc l'ajout du couple de torsion à l'espace-temps produit une image très différente d'une sphère parfaite. Cela induit une structure de tore, c'est à dire une sphère avec deux trous au milieu, au pôle nord et au pôle sud".
Du moins, cette construction nous évite d’avoir une telle perception. Car si les événements paraissent se dérouler localement et indépendamment les uns des autres, il n’en est rien : chaque information apparaît à des coordonnées spatio-temporelles précises et se trouve simultanément disponible partout dans l’Univers sous forme holographique ).
Ainsi, nos perceptions ordinaires voient la linéarité et la séparation là où tout est en résonnance dans le moment présent. Tout se passe comme si c’était notre perspective sur l’hologramme de la réalité qui changeait constamment, laissant apparaître le mouvement et le temps. Dit autrement, la réalité alterne entre apparition et disparition, mais chaque nouvelle apparition n’est finalement que la conséquence d’un changement de perspective de la conscience quantique.
Notre niveau de conscience détermine notre perception du temps : la conscience pure est consciente d’elle-même dans l’immobilité, l’éternel présent, tandis que le mental est inséparable du temps. C’est pourquoi de notre perspective, l’immobilité n’existe pas. En fait, l’immobilité réside dans notre centre, à partir duquel nous observons l’Univers. A l’image de l’œil du cyclone qui est un point immobile, « tous les spins dans l’Univers s’annulent en chaque point, laissant place à l’immobilité » nous dit Nassim Haramein.
Être au point d’immobilité, revient à ne pas percevoir le temps car le temps a besoin du mouvement pour exister. C’est en cela que la conscience pure est immobilité, et que l’expérience de la conscience se fait dans le mouvement. Notre cerveau est capable d'inscrire une information dans l'espace-temps; il a la capacité d'inscrire et de trouver l'information.
« Vous êtes le centre de l'univers qui observe l'univers depuis votre propre centre – nous dit Nassim Haramein. Où que vous choisissiez un point d'observation dans la fractale, ce point devient le centre d'où vous observez l'univers. Ce point devient le silence. Pourquoi le silence ? Parce qu'à ce moment-là, tous les tores de l'univers s'annulent.... Vous avez besoin d'un calme pour avoir un cadre de référence pour la rotation et c'est comme ça que se produit la singularité. Elle est le point au centre de votre expérience de l'univers, c'est le point de silence d'où vous observez l'univers. Peut-être serait-il bon d’agir dans le sens de la dynamique fondamentale de l’Univers en créant dans notre cœur une structure toroïdale en deux temps quand elle se courbe vers l’immobilité, elle est la confiance par le souffle expiré, ensuite quand elle entre en expansion, elle est la gratitude par le souffle inspiré un peu comme dans l’œil d’un cyclone ; le tourbillonnement est là où se trouve notre singularité ; au centre se trouve la quiétude et plus on l'atteint plus la dynamique tourbillonnaire du spin augmente autour de nous et avec elle l'inspiration ou l'influence autour de nous. Ce n'est qu'en décidant de vous soigner que vous soignerez le monde autour de vous, d'abord votre monde immédiat, puis un monde plus large, et ainsi de suite. C'est une erreur de vouloir guérir le monde des fléaux qui l'habitent puisqu'en vous concentrant dessus, vous vous y attachez davantage... Si vous voulez vivre dans un monde libre, de paix, d'amour, de joie et de bonheur, alors faites-le déjà en vous, puis dans votre entourage immédiat, et ainsi de suite; la plus petite colère en vous participe aux traumatismes planétaires; la plus petite dose d'amour en vous participe à l'harmonie de la planète et de tous les êtres vivants qui y vivent. Alors choisissez en pleine conscience le monde dans lequel vous voulez vivre » ; choisissons ce qui n'est pas vain, violent, futile ou mesquin! Nos choix, nos pensées, nos valeurs, nos émotions, nos convictions intimes surtout, tout est en lien avec la Singularité, ce qui attire, crée ou rejette, autorise ou permet, crée de l’équilibre ou du chaos. La gratitude et les pensées positives se construisent l'une sur l'autre, créant une spirale positive et ascendante . C’est l’état de paix, de joie, d’amour qui se manifeste par la créativité.
« Vous êtes - nous dit Nassim Haramein - un
participant actif à la création permanente de l'univers; vous faites partie de
ce canal de l'information du vide qui passe d'infiniment grand à infiniment
petit à travers vous et comme il passe à travers vous il choisit votre
interprétation spécifique de l'univers et le nourrit à l'infini de toutes les
choses afin que votre participation soit comptée... Vous commencez à avoir un
sens de votre responsabilité ?
La méditation - nous dit Nassim Haramein - est faite pour améliorer et augmenter la capacité de déplacer l’information depuis le vide jusqu’à Singularité individuelle. Il existe un lieu physique à l’intérieur de notre cœur et de sa Singularité. Notre cœur a une petite cavité, entre ses deux ventricules. Et cette petite cavité a le champ électromagnétique le plus important de tout notre corps ! Il peut être perçu et mesuré à plus de 2,5 m. C’est la batterie de la vie qui maintient notre cœur en fonctionnement. Et quand on meurt, cette Singularité n’est plus présente, c’est sans doute une des raisons pour laquelle il y a une légère perte de poids qu’on ne peut justifier.
Si vous dirigez toute votre attention vers la singularité (zone de calme) qui est en votre centre, toute l'information contenue dans l'Univers est à votre disposition car l'Univers est un champ unifié holofractographique scalaire infini où toute l'information est présente en chaque point (singularité).
Vous attirez, créez, rejetez ce qui est autour de vous. Vous pouvez aussi comprendre qu'en fonction de votre chemin, de vos pensées, de vos valeurs, de vos émotions, vous attirerez forcément autour de vous d'autres personnes qui sont sur le même chemin, qui ont des pensées, valeurs et émotions similaires... »
"Grandir, prospérer est inhérent à la dynamique du Cosmos, ce n'est pas juste un vœu pieux. C'est un but atteignable parce que c'est inhérent au cosmos. Notre rôle est de percevoir les formes-structures, les dynamiques et les principes que le grand champ, dont nous faisons partie, exprime pour y arriver, et baser nos perceptions, nos croyances et nos actions sur eux pour arriver à nous aligner harmonieusement avec les dynamiques inhérentes de la vie s'épanouissant dans le cosmos." Marshall Lefferts - Cosmometry
" Il est vraiment important de se souvenir que l'information est comme
ancrée dans la structure de l'espace-temps; toutes vos générations, toutes vos
mémoires, absolument tout s'y trouve
comme dans un archiveur ou un disque dur; toutes ces informations sont ensuite
échangées avec les structures biologiques au fur et à mesure que vous déposez
de l'information sur la structure de l'espace-temps le long de de votre ligne
de vie, et donc vos gènes ne sont qu'une expression de l'information qui se
trouve aux coordonnées de l'espace-temps où elle réside. Votre mémoire ne se
trouve pas dans votre cerveau; c'est vous qui accédez à ces coordonnées de
l'espace-temps. Et donc c'est intéressant parce que vous pouvez commencer à
penser à des choses comme déposer de l'information aux coordonnées de
l'espace-temps en avance de là où vous vous trouvez, pour quelque chose que
vous voulez réaliser dans votre vie ou que vous voulez dans votre vie, et donc
c'est comme l'autoriser, et si vous faites cela, ça va avoir une répercussion
en sens inverse dans la structure de l'espace-temps jusqu'à votre présent, et
donc cela va commencer à faire de vous la personne que vous devez être afin que
ces événements aient lieu. Et donc, si vous réussissez à suivre cette ligne
d'information alors vous obtiendrez le résultat escompté. C'est comme projeter,
vous savez, des bulles de réalité dans votre futur avec l'idée de les
rattraper." Nassim Haramein sur créer son
futur pendant un live à la Resonance Academy
Notre cerveau est capable d'inscrire ou de trouver une information dans l'espace-temps appelé aussi le champ morphique ou la mémoire Akashique.
L’architecture fractale du cerveau (et du corps en général), depuis les domaines fractals moléculaires au sein de chaque neurone et cellule jusqu’à la très alambiquée topologie de la surface des méninges (un réseau de plusieurs couches de membranes cellulaires recouvrant le cerveau et qui est fortement replié, comme la géométrie fractale d’une ligne côtière), fonctionne tels des récepteurs et transmetteurs (comme des antennes), où le réseau de micros trous de ver du vide quantique du champ d’ espace-mémoire constitue les canaux de communication, et les biomolécules, les cellules, et les tissus constituent, eux, les nœuds – recevant, intégrant, traitant et transmettant l’information. Ainsi, la conscience n’est pas produite par le cerveau lui-même (il joue clairement un rôle dans les processus de notre conscience physique), celui-ci agit plutôt comme un récepteur/ transmetteur, (comme les voix entendues à la radio ne viennent pas de personnes à l’intérieur du poste, mais de la réception par l’appareil d’ondes électromagnétiques invisibles encodant l’information). Nous sommes ainsi des émetteurs-récepteurs : mieux nous apprenons à nous centrer sur la Source, mieux nous captons les informations...Nous pouvons aussi y déposer des bulles de réalité future!
Notre corps tout entier est un émetteur-récepteur; il a besoin d'être en lien avec le vide pour fonctionner, de donner et de recevoir en retour des informations. Cela se fait à travers les ondes électromagnétiques, scalaires et gammas. " Vous vibrez déjà, à l'échelle de Planck, qui constitue tous vos atomes, molécules, cellules, organes, à la fréquence de Planck (que l'on appelle fréquence de vide car c'est la plus petite fréquence possible de notre univers). Il faut voir des cercles concentriques. Le cercle central, c'est Planck, puis les cercles concentriques autour du cercle central de Planck, ce sont les atomes, les molécules, les cellules, les organes, puis le dernier cercle votre corps entier. La fréquence de votre corps entier est l'amas de toutes ces fréquences "inférieures" (pas en terme négatif, au contraire, plus la structure est petite, plus elle est énergétique - fréquence + élevée) ; ce que vous appelez "ma fréquence propre". Donc au niveau de Planck, dans votre corps vous vibrez déjà à la fréquence du vide. Mais votre fréquence personnelle (globale) vibre à une fréquence plus grande, moins énergétique. Chaque niveau (Planck, atome, molécule, cellule, organe, corps) vibre à une certaine fréquence. Si toutes ces fréquences sont bien alignées, en résonance harmonique, chaque niveau sera en bonne santé (de Planck à votre corps et certainement plus loin, avec la planète, le soleil, le système solaire, la galaxie, l'univers, etc.). Si un niveau ou plusieurs dévie de ce niveau de résonance harmonique, un mal être, des maladies peuvent survenir. Le cristal ARK agit au niveau de Planck et amplifie cette résonance harmonique même si c'est à un niveau très subtil, il est bien réel. Sa fréquence vibrationnelle génère un champ électromagnétique bénéfique qui réaligne chaque niveau. Donc en gros, il ne change pas votre fréquence personnelle propre, vous vibrez déjà mais à une échelle très subtile à la fréquence de l'énergie du vide, mais il amplifie et accroît la cohérence des vibrations harmoniques de votre corps (RSF, Olivier Alirol)"
La maladie, notamment le cancer, montre une perte d'harmonie avec l'ensemble de l'information; ce sont des cellules qui fonctionnent de manière autonome; il y a une communication sans fil entre les cellules avec des fréquences fractales multiples en fonction des cellules ou des organes. Il y a à chaque niveau des géométries précises…qui serait dans le corps liées à l'eau. Mais le corps doit maintenir un bon PH du sang dont dépend notre santé: il doit être basique et non acide! Du coup le sel y contribue s’il est naturel, marin et non raffiné.
Nous sommes des émetteurs-récepteurs: voilà ce qui fait sens ! Et l'Univers n'est en rien une gigantesque machine à combiner les possibles à partir des lois connues, encore inconnues, du hasard ou de coïncidences heureuses !
Nous sommes en lien permanent avec l'Univers: il ne peut en être autrement.
Les vibrations d'un point particulier de l'espace-temps se propage toujours de la même façon ; en forme de doubles spirales opposées liées au ratio de Phi. Chaque champ électromagnétique a sa propre fréquence créant des formes différentes avec des couleurs différentes.
Dans la métaphore de l'Univers connecté tout est relié de manière holographique, depuis les protons jusqu'aux galaxies, par des trous noirs et des trous de ver. " On pourrait imaginer la structure de l’espace-temps autour de chaque proton comme un superbe treillis de sphères, interconnectées par des canaux de transmission allant dans toutes les directions (Source RSF)." Nous échangeons avec elle de l'information et nous en recevons à tout moment, en temps réel. Nous y sommes en quelque sorte reliés et relayés : C'est tout simplement fabuleux ! Tout est dans ce treillis de sphères vibration, information, énergie. Tout y est en rotation (c'est le double spin). Tout existe en tension, en contraction ou en expansion, en émergence comme une figure sur un fond : le haut, le bas, le chaud, le froid, le bien/le mal, le masculin/le féminin, dans un gradient extensible. Notre mémoire de vie se structure entre le merveilleux et le super nul. Elle nous situe en permanence entre ce qui est hautement désirable et ce qui est à éviter à tout prix. Chaque situation est jugée en fonction de nos expériences individuelles, donc de nos vécus qui peuvent comprendre aussi des traumatismes importants qui deviennent souvent la mesure de tout.
C'est l'interaction du yin et du yang, des contrastes qui créent le mouvement, le Qi, l'énergie. Et comme le disent certains physiciens quantiques : matière et énergie sont en fait une seule et même chose.
Les deux éléments sont en opposition tout en portant le germe de l’autre ; ils sont interdépendants et en engendrement mutuel. Il n’y a jamais opposition absolue, plutôt une émergence. C’est elle qui oriente et induit la réponse. Cela présuppose qu’il y a une zone de communication maximalisée de l’information : la singularité, là précisément où toutes les forces sont en équilibre. C’est la zone de calme, d’équilibre, de quiétude qu’il faut atteindre, trouver pour y déposer et y recevoir de l’information dans un espace spécifique, celui de la mémoire de l'espace-temps. Nassim Haramein nous recommande de l’aborder avec joie, en confiance et reconnaissance, en visualisant l’univers qui se compacte suivant un mouvement spiralé vers l’immobilité dans notre cœur (quand on expire avec gratitude), et qui entre en expansion à nouveau (quand on inspire en confiance), et puis en répétant ce cycle de respiration encore et encore.
" Gratitude et pensées positives se construisent l'un sur l'autre, créant une spirale positive et ascendante." nous dit Nassim Haramein.
La Singularité est liée à un vortex entrant dans le chakra de la couronne (lié à la compréhension spirituelle de la vie et à la sérénité), et un autre dans le chakra racine (lié à la confiance en soi et au courage), pour enfin se réunir dans le centre du cœur reproduisant exactement la même dynamique du spin et du double tore.
Il existe un lieu physique à l’intérieur de notre cœur et de sa Singularité. Notre cœur a une petite cavité, entre ses deux ventricules. Et cette petite cavité a le champ électromagnétique le plus important de tout notre corps ! Il peut être perçu et mesuré à plus de 2,5 m. C’est la batterie de la vie qui maintient notre cœur en fonctionnement. Et quand on meurt, cette Singularité n’est plus présente, c’est sans doute une des raisons pour laquelle il y a une légère perte de poids qu’on ne peut justifier.
Le cœur avec ses battements constitue l'oscillateur le plus puissant de l'organisme : son champ magnétique généré par l'activité électrique est le plus puissant de ceux produits dans l'organisme (5000 fois plus que le cerveau), ce qui en fait un organe central chez l'être humain. Les nombreux oscillateurs biologiques de l'organisme vont se synchroniser sur cet oscillateur majeur qui va influencer à travers des ondes gamma toutes les molécules constitutives de l'organisme ainsi que les réactions chimiques dans lesquelles celles‐ci sont impliquées. Quand les cellules veulent se synchroniser, elles accordent leur longueur d'onde sur la fréquence gamma, un peu comme une radio, la partie basse de l'onde véhiculant la mémoire des expériences passées, la partie haute ce qui se présente dans l'instant. Tout est donc toujours comparé. Nos cellules puisent aussi l'énergie dont elles ont besoin dans la Matrice (le vide quantique, Dieu, etc.): elles en reçoivent l'énergie et l'information pour fonctionner correctement. Sans cette Source, nous ne serions pas ! Nous ne pourrions pas exister.
Nous pourrions ainsi placer au centre:
Dans cette approche, atteindre l’état christique, l’attraction positive ne signifie pas agir toujours PARFAITEMENT, en ayant des comportements ou des attitudes univoques. C’est utopique. Personne ne peut y arriver, du moins difficilement sans se surveiller en permanence et se contraindre du moins ! S’accepter véritablement signifie aussi affronter tout ce que nous considérons comme négatif à notre sujet avec son pouvoir d’attraction tout aussi présent dans notre vie. C’est reconnaître que nous avons des faiblesses, des peurs, des blessures, que nous sommes parfois incompétents, etc.
D’ailleurs, tout est toujours à situer avec son contraire : nous connaissons le beau en rapport à une expérience de la laideur, le haut en rapport au bas, le chaud face au froid, etc.
Au centre des triangles : 528 Hz est considérée comme la vibration de l’amour
universel. Elle est utilisée par les biochimistes en génétique pour réparer et
reprogrammer l’ADN déstructuré. Elle a même permis de dépolluer une partie du
Golfe du Mexique.
396 Hz c'est la fréquence qui vous libère des peurs et
de la culpabilité.
639 Hz c'est la fréquence qui influence l'équilibre
relationnel et la tranquillité. L’unification avec le tout et les connexions
neuronales.
963 Hz c'est la fréquence qui nettoie la glande pinéale.
417 Hz c'est la fréquence vous aide à contrôler vos
émotions. Cette fréquence nettoierait des expériences traumatisantes et
dégagerait les influences destructives d'événements passés. 147 Hz rehausse la concentration et le processus de
prise de conscience, est considéré comme un régulateur.
174 Hz c'est la fréquence de base pour stabiliser votre évolution et
réduire la douleur physique. C’est la sécurité et la sérénité.
852 Hz est l’éveil de l’intuition et le retour à l’ordre
spirituel, Amour inconditionnel. 285 Hz c'est la
fréquence qui permet d’accélérer la conscience. Avec elle vous pouvez accéder à
la vérité et la sagesse.
La fréquence de guérison est de 528 Hz, et est également
appelée fréquence de l’amour. Elle inspire le progrès, le calme, la guérison,
la connexion divine, les sentiments d’amour. On dit que cette fréquence est
tellement forte, tellement puissante, qu’elle peut même réparer les dommages
causés à l’ADN d’une personne (ou d’un animal, plante).
Son influence agirait sur les molécules de l'eau
contenues dans tout ce qui est vivant, en entourant l'hélice de l’ADN pouvant
produire des effets de guérison.
Les voix utilisées conduiraient à rendre l'ADN humain à
son originel, l'état parfait. Ces fréquences peuvent apporter la transformation
dans notre vie. Le processus de réparation d'ADN est suivi par des effets
avantageux, tant pour la quantité accrue d'énergie de vie que la clarté
d'esprit, la conscience éveillée ou la créativité activée, des états extasiés
comme la paix intérieure profonde, la danse et le recueil. La voix active votre
imagination, l'intention et l'intuition en opérant vers votre but le plus haut
et le meilleur.
Dans le solfège sacré on dit que la troisième note de la
fréquence de 528 htz, se rapporte de la note MI sur la gamme et provient de
l'expression "mi-gestorum ra" en latin et signifie « miracle ».
Étonnamment, c'est exactement la fréquence qu'utiliserait les biochimistes
génétiques pour réparer l'ADN cassé, l'empreinte génétique sur laquelle la vie
est fondée, le Mi nourrit le chakra couronne. De nombreuses musiques sont disponibles sur Youtube.
Ainsi , nous ne sommes pas perdus dans un univers hostile : tout nous incite à mieux interagir avec l'Univers, la Source, la Matrice, l'Esprit intelligent et conscient sans lequel nous ne serions pas.
L'heure est venue de réunir science et spiritualité...D'exercer ce miracle permanent consciemment et en bonne intelligence.