Tout est en évolutions permanentes, tout est en adaptations, en ajustements. En réalité, l'Univers est VIVANT nous dit Nassim Haramein.
L'UNIVERS N'EST PAS ALÉATOIRE
Nassim Haramein et Amira Val Baker ont calculé, il y a quelques années que la probabilité de formation d'un organisme monocellulaire avec des intéractions électro-chimiques aléatoires (qui est le modèle dominant) est d'1 chance sur ~10^8000 (1 suivi de 8000 zéros), c'est à dire, quasiment nulle.
Dans leur article de 2014 intitulé Le Réseau unifié de la
mémoire de l’espace : de la cosmogénèse à la conscience, William Brown, le
docteur Amira Val Baker et Nassim Haramein, utilisent le principe holographique
généralisé et le réseau des trous de ver pour décrire l’apparition de
structures biologiques ainsi que le phénomène des fonctions cognitives dans le
cerveau, par le biais d’interactions non-locales des microtubules du cerveau avec
les fluctuations du vide de Planck ; chaque point instruit le tout qui à
son tour en informe chaque point (retour d’informations ou boucles
d’informations). Dans un tel réseau d’information qui ressemble notablement à
la structure neuronale du cerveau, le processus d’apprentissage évolutif du
système doit être enregistré comme l’acquisition d’un souvenir dans la
structure même de l’espace-temps et de ce fait, la surface holographique qui
enregistre ces informations doit s’étendre (l’expansion de l’univers).
Nous en arrivons maintenant au point critique où nous pouvons commencer à visualiser que le monde autour de nous et nous-mêmes sommes incorporés dans ce tissu de fluctuations de Planck en réseau de trous de ver communiquant à travers des distances universelles énormes depuis chacun des protons qui nous constituent jusqu’à la surface de l’univers lui-même.
On peut voir l’univers en tant qu’orchestre symphonique, où chaque proton est semblable au support magnétique d’un disque dur holographique enregistrant chaque instant de son existence dans des bits de Planck. Tous les « disques durs » de protons sont alors interconnectés par des trous de ver qui agissent comme des câbles-réseau à transmission instantanée, aboutissant à ce que tous les protons de l’univers soient synchronisés dans un réseau connecté supraconducteur qui se met à jour instantanément à chaque changement. On pourrait imaginer la structure de l’espace-temps autour de chaque proton comme un superbe treillis de sphères, interconnectées par des canaux de transmission allant dans toutes les directions.
C'est à travers ce réseau connecté supraconducteur - la mémoire de l'espace-temps - que l'évolution a eu lieu sur Terre comem dans tout l'univers.