L'UNIVERS N'EST PAS ALÉATOIRE
>>>>Il y a 2,8 milliards d'années, se forme de l'oxygène dans l'atmosphère : soit environ 1,5 milliard d’années après les vapeurs d’eau ! C’est le socle primitif qui a permis le surgissement de la vie.
Comment ce miracle s’est-il produit ?
Nombre d’expériences ont été tentés pour reproduire en laboratoire les conditions de cette soupe biologique primitive dont serait issue la vie. Aucune n’a vraiment abouti de manière convaincante. Les chercheurs ont pu fabriquer les bases azotées de l'ADN et de l'ARN (adénine et guanine), des aldéhydes, de l’acide cyanhydrique. De nombreuses molécules organiques indispensables n'ont pu être synthétisées et on est très loin de l'organisme vivant le plus élémentaire, la bactérie.
Les théories de la soupe font toutes appel au phénomène de hasard qui est seulement un postulat. Dans l'eau des océans, les molécules sont très diluées et cela n'est pas favorable aux rencontres et aux réactions chimiques. Murray Eden, un professeur de génie électrique au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a calculé que la probabilité pour qu'une synthèse moléculaire simple se produise est de 1 pour 1 milliard d'années, alors que la vie est apparue moins de 600 millions d'années après la présence d'eau. En 1989, Rober Saurer, biologiste au MIT, a confirmé la théorie de Hubert Yockey qui a calculé que la probabilité pour qu'une protéine se forme spontanément à partir de 100 acides aminés (un nombre tout à fait modeste) est d’une chance sur 10 puissance 65 (1 suivi de 65 zéros).
>>>>Nombreux sont les chercheurs qui estiment que rien ne permet d'étayer que la vie est née sur Terre. Ils pensent que des molécules organiques, en particulier des acides aminés et des bases azotées, sont arrivées de l'espace toutes constituées. C'est la théorie de la panspermie.
Ces molécules auraient pu être transportées par des météorites (bloc rocheux de plus de 1 kg) et des poussières, puis auraient peuplé les eaux. Ce scénario longtemps repoussé trouve aujourd'hui la préférence de certains chercheurs, à cause de certaines preuves tangibles. Dans les météorites contemporaines récoltées sur Terre, on trouve de nombreuses molécules organiques dont des acides aminés et des bases azotées.
Une étude récente de l'Imperial College de Londres sur une grosse météorite tombée en Australie en 1969 confirme la présence d'uracile (base d'ARN) et de xanthine (une dérivée des bases). Une équipe de l’université de Californie, à San Diego, a identifié à l’intérieur des météorites carbonées une grande variété de bases nucléotidiques, qui servent à fabriquer le matériel génétique des organismes vivants, indique Marie-Christine Maurel (Université de Paris). Depuis, l’observation a été maintes fois confirmée.
Des analyses montrent que les nuages interstellaires, formés de gaz, de poussières et de glace, contiennent aussi de nombreuses molécules organiques. Lorsque les météorites touchent le sol de la Terre, les grosses se vaporisent sous le choc, mais les petites (moins de quelques dizaines de cm de diamètre) échappent à la destruction et libèrent leurs composants dans l'environnement.
Pour tester la validité de scénario, on a évalué la quantité de cette matière tombée sur Terre à partir de son impact sur la lune. La terre a été bombardée d'une abondance de météorites pendant 600 Ma. Pour Matthieu Gounelle et André Brack, la quantité de météorites n'est pas suffisante pour expliquer toute la chimie organique terrestre. En revanche, le volume des micro-météorites ou poussières cosmiques est énorme et a apporté une masse importante de matière carbonée nécessaire au surgissement de la vie. Nous pourrions ainsi avoir reçu du cosmos les briques élémentaires qui ont permis à la vie de se développer.
Notre évolution était-elle contenue dans le génome de la vie? était-elle prévue, dirigée progressivement – nous dirons par l’information de l’espace-temps – ou a-t-elle été majoritairement le fruit du hasard ? Les avis divergent radicalement puisque nous avons même des créationnistes pour qui tout est l’œuvre d’un créateur unique et à l’opposé des adeptes de Darwin pour qui l’évolution s’est faite par à-coups, par sélection des plus forts et des plus adaptés à leurs milieux de vie. Ce dernier modèle, s’il correspond partiellement à l’observation des données engrangées au fil du temps, recèle néanmoins un problème majeur : il justifie sans cesse ce qu’il présuppose – des mutations aléatoires - sans pouvoir expliquer pourquoi certaines espèces ont connu des mutations et d’autres pas.
L'extinction du Crétacé-tertiaire a eu lieu il y a de cela 65 millions d’années, Durant cette période, six à huit espèces sur dix ont disparu Parmi ces disparition on retrouve les grands sauriens comme les dinosaures... Les oiseaux ont survécu mais les insectes sont ceux qui ont le mieux résisté. Aucun animal de plus de 20 à 25 kg n’aurait survécu à l’exception des crocodiliens. De nombreux paléontologues admettent que les oiseaux appartiennent au groupe des dinosaures. Les causes de cette extinction ont longtemps été débattues entre expert, c’est pourquoi nous avons décidé de vous mettre les deux causes les plus probables de cette extinction massive.
Un astéroïde d’environ 15km de large aurait percuté la Terre à Chicxulub dans la province du Yucatán au Mexique. "L'astéroïde aurait frappé la Terre avec une puissance un milliard de fois plus élevée que la bombe atomique d’Hiroshima”. Cet impact aurait charrié des matériaux à grande vitesse dans l’atmosphère en provoquant ainsi un refroidissement, éradiquant une grande partie des espèces en quelques jours.
D’autres experts assurent qu’il y aurait eu aussi des séries d’éruption volcaniques qui auraient sévi durant 1.5 million d’années dans ce que l’on appelle l’Inde aujourd’hui. Ces éruptions auraient rempli l’équivalant de deux fois la mer noire et auraient provoqué un refroidissement de l’atmosphère ainsi que des pluies acides.
75 % des espèces ayant existé sur Terre vont s’éteindre; la plupart des mammifères, des tortues, des crocodiles, des grenouilles et des oiseaux ont survécu, tout comme la vie marine, dont les requins, les étoiles de mer et les oursins. Sans les dinosaures, les mammifères ont proliféré, conduisant à la naissance de l’homo sapiens.
Lors de cette 5e extinction de masse, le gigantisme des plantes et des animaux va disparaître et cette solution ne sera plus retenue. Une autre voie sera choisie...
Une approche plus holistique du vivant nécessite de postuler – selon Rupert Sheldrake - l’existence de champs de résonance morphique qui ne sont ni au niveau de l’énergie ni au niveau physique. Ce sont des champs qui s’organisent an niveau quantique autour de chaque élément spécifiques dans l’espace-temps. Le champ morphogénique est la mémoire : il crée un schéma organisationnel qui attire les systèmes en développement vers les attracteurs morphiques. Ce sont de possibilités quantiques qui s’influencent les uns les autres. Les lois de la nature sont en réalité les lois de l’habitude à laquelle il faut ajouter la mémoire spécifique. Nous n’avons pas besoin de postuler un champ akashiques comme un disque dur : nos informations peuvent être situés dans un champ de probabilités, d’habitudes ou de tendances qui sont des ondes de possibilités. Plus globalement, selon D. Böhm – tout émerge d’un ordre explicite qui se traduit en un ordre implicite. L’évolution marque la tension entre cet ordre de l’habitude et la créativité de la nouveauté. Ce n’est pas une suite de mutations aléatoires, c’est un principe organisateur au sein des champs morphiques. Cette approche modifie notre compréhension de l’ADN : le modèle standard affirme que 75% de l’hérédité serait déterminée par les gènes mais le modèle de résonance le conteste ; il y a bien une mémoire évolutive.
Le fabuleux développement du foetus en témoigne et nous devrions toutes et tous avoir visionné ces images:
La division du temps en cycles toujours plus petits, se signalant par des changements importants ou des bouleversements cruciaux, passerait de l’histoire de la vie en général à celle de l’homme en particulier. La deuxième série a besoin de cinq cycles pour faire apparaître l’homo sapiens sapiens, sur une échelle de temps considérable au regard de l’histoire contemporaine mais très brève comparée à l’histoire de la vie, puis de deux cycles seulement pour passer du néolithique (6.100 avant Jésus-Christ) à la philosophie scolastique du Moyen-Âge (environ 1.300 de notre ère). Tout événement vraiment important s’inscrirait donc dans ces correspondances et proportions (CF. la page Au-delà de Darwin).