Selon Einstein, tout est énergie. Nous sommes énergie, tous les règnes du vivant le sont ainsi que la matière en apparence inanimée. C’est le taux vibratoire qui fait la différence. La matière est une densification de l’énergie et l’énergie est de la matière fine. Pour le Pr Marc Henry, le champ porte l'information et l'énergie ; si c'est collectif, c'est une onde ; sur son point zéro, c'est de l'information ; sur le point maximum de la propagation de l'onde, c'est de l'énergie. L'énergie et l'information sont portées par le même objet, l'onde, mais pas au même endroit. Mais avec une information, on ne peut pas changer la structure matérielle : là, c'est le rôle de l'énergie. Mais quand on a une information, on peut changer la matière par l'énergie. Tout est là ! L'information est donc le point zéro de l'onde. Ce à partir de quoi il peut y avoir de l'énergie. Le point Source / Origine en quelque sorte.
Voici à quoi pourrait ressembler cet univers maillé:
Ils sont connus de la physique, sont des régions d’influences non matérielles s’étendant dans l’espace et se prolongeant dans le temps. Quand un système particulier cesse d’exister - lorsqu’un atome est désintégré, qu’un flocon de neige fond, ou qu’un animal meurt - son champ organisateur disparaît du lieu spécifique où existait le système. Mais dans un autre sens, les champs morphiques ne disparaissent pas : ce sont des schèmes d’influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en d’autres temps, et d’autres lieux, partout où et à chaque fois que les conditions physiques sont appropriées. Quand c’est le cas, ils renferment une mémoire de leurs existences physiques antérieures“. Et, plus la population étudiée comporte d’individus plus le champ morphogénique s’enrichit du comportement de tous ses individus.
On peut comparer le champ morphogénique d’une part à un gigantesque réservoir de la mémoire de l’espèce, c’est sa fonction passive, d’autre part à un inducteur d’organisation, c’est sa fonction active ou téléologique. Et cet inducteur d’organisation fonctionne de mieux en mieux grâce à l’apprentissage des membres de l’espèce.
Sheldrake donne l’exemple des mésanges bleues qui, en Angleterre, ont appris à percer les capsules fermant les bouteilles de lait déposées par le laitier le matin à domicile : “Une analyse minutieuse des données a montré que la propagation de l’habitude s’est accélérée avec le temps, et que le comportement a été découvert par des mésanges individuelles“. MC Dougall réalisa en Angleterre des expériences sur les rats pour leur apprendre à choisir entre deux sorties d’une cage, l’une éclairée mais assortie d’une forte décharge électrique et l’autre sombre mais sans choc électrique. La première génération de rats commit 165 erreurs, la trentième n’en commettait plus que 20.
L'équipe du Pr. Roman Ulm, du Département de botanique et de biologie végétale de l'Université de Genève, vient de comprendre comment les plantes se sont protégées des rayons UVB. C'est une protéine (baptisée UVR8) qui, sous l'action du soleil, déclenche une cascade de réactions chimiques dont des antioxydants et des composés qui absorbent les UV comme une crème solaire. Ce mécanisme a permis aux plantes, sorties de l'eau, de s'adapter à un monde hostile, à une époque où la couche d'ozone était en formation. Le mécanisme UVR8 semble avoir été transmis d'un seul coup à l'ensemble du monde végétal. Fabuleux!
En 1952, sur l’ile de Koshima, des scientifiques nourrissaient les singes avec des patates douces crues en les jetant sur le sable. Les singes aimaient le goût des patates douces, mais trouvaient leur saleté déplaisante.
Une femelle âgée de 18 mois, appelée Imo, pensait qu’elle pouvait solutionner le problème en lavant les patates dans un ruisseau tout près. Elle enseigna ce truc à sa mère. Leurs compagnes de jeu apprirent aussi cette nouvelle façon de faire et l’enseignèrent aussi à leurs mères.
Cette innovation culturelle fut graduellement adoptée par différents singes devant les yeux des scientifiques. Entre 1952 et 1958, tous les jeunes singes apprirent à laver les patates douces remplies de sable pour les rendre plus agréables au goût. Seuls les singes adultes qui imitèrent leurs enfants apprirent cette amélioration sociale. Les autres singes adultes conservèrent leur habitude de manger des patates douces sales.
À l’automne de 1958, un certain nombre de singes de Koshima lavaient leurs patates douces - leur nombre exact demeure inconnu. Supposons que lorsque le soleil se leva un matin, il y avait 99 singes sur l’île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces. Supposons encore qu’un peu plus tard ce matin-là, un centième singe appris à laver les patates. Alors quelque chose d’étonnant se produisit !
Ce soir-là presque tous les singes de la tribu se mirent à laver leurs patates douces avant de les manger. Un peu comme si l’énergie additionnelle de ce centième singe créa une sorte « de percée scientifique » !
Mais ce n’est pas tout : la chose la plus surprenante observée par ces scientifiques fut le fait que l’habitude de laver les patates douces se transmit de façon inexpliquée et simultanée à des colonies de singes habitant d’autres îles ainsi qu’à la troupe de singes de Takasakiyama sur le continent qui commencèrent aussi à laver leurs patates douces. C’est ainsi que le macaque japonais fut surnommé le « laveur de patates ».
Cette histoire est remarquable car elle souligne deux points capitaux qu’il nous serait utile de retenir pour notre avenir à court et moyen terme.
Tout d’abord, pour qu’un tel changement soit possible, il ne suffit pas qu’un petit groupe adopte une attitude différente. Il ne s’agit pas ici de la domination exercée par une minorité utilisant la force et la coercition mais au contraire de l’accession d’un groupe a un niveau de conscience plus élevée. C’est ici la première clé.
Et voici la seconde. Bien que le nombre exact peut varier, ce « Phénomène du Centième Singe » signifie que lorsque seulement un nombre restreint de personnes apprend une nouvelle façon de faire, celle-ci peut devenir partie intégrante de la conscience de toute la communauté. En effet, à un moment donné, si seulement une personne de plus se met à adopter cette nouvelle prise de conscience, son champ d’action s’étend de telle sorte que cette prise de conscience est adoptée par presque tout le monde !
NOTA : Le phénomène de "superradiance" ou "effet Maharishi" (du nom du Maître Spirituel indien qui fut le premier à le décrire) fut expérimenté pour la première fois à
l’occasion d’une étude menée pendant le conflit israélo-libanais au début des années 1980. Cette étude consistait à réunir, dans les régions du Moyen-Orient dévastées par la guerre, des personnes formées à la technique de la méditation transcendantale élaborée par Maharishi Mahesh Yogi, et bien entraînées à développer en elles un sentiment de paix.
Durant les périodes au cours desquelles elles éprouvaient toutes ensemble un sentiment de paix, le niveau de violence dans la région autour d'elles diminuait significativement. Les crimes, les meurtres et les accidents diminuaient, tandis que les activités terroristes cessaient. Et quand elles s'arrêtaient de focaliser leur attention sur l’harmonie, toutes ces activités reprenaient.
Les résultats furent tellement évidents que les chercheurs purent déterminer le pourcentage exact de population nécessaire pour créer cet effet Maharishi. Il s'agit de la racine carrée de 1% de la totalité d'une population donnée, c'est-à-dire à peine un peu plus 80’000 personnes sur les 7 milliards que compte actuellement la population mondiale !
Il semblerait logique et naturel de supposer que pour changer le monde, il faille que l’immense majorité de la population du globe y consente. Mais c’est une erreur. Aussi bien les études menées autour de l’effet Maharishi que les observations ayant permis de vérifier la théorie du champ morphique sont là pour nous le rappeler. En vérité, ce qui est important, c’est que la nécessité d’un changement fasse l’objet d’une prise de conscience d’un nombre suffisant de personnes.
Voici comment Philippe Guillemant en parle sur son site Web : « Développer son être intérieur n'est pas une chose aisée. Aussi longtemps que vous cherchez à raisonner vous restez enfermé dans une prison mentale et vous n'êtes pas libre. La réflexion emprisonne. Pour trouver son être intérieur il faut se débarrasser de l'emprise du mental en trouvant une position où l'on devient l'observateur de ses pensées et non l'esclave de ses pensées. C'est tout le sens de la méditation ou autres pratiques connexes, en ce qui me concerne c'est la randonnée (ou les gros efforts physiques prolongés) qui après m'avoir secoué le cerveau (un véritable polluant) ou encore "vidé l'esprit" me redonne la confiance et la joie qui me permettent de retrouver ma lumière.
" Vous pouvez aussi comprendre qu'en fonction de votre chemin, de vos pensées, de vos valeurs, de vos émotions, vous attirerez forcément autour de vous d'autres personnes qui sont sur le même chemin, qui ont des pensées, valeurs et émotions similaires... la 'paix', mais aussi la tranquillité, la sécurité, le bien-être, la santé, la satisfaction, le contentement, la réussite, la consolation, le réconfort, sont à rechercher en créant, dans notre propre champ énergétique, dans la structure toroïdale se courbant vers l’immobilité, vers la singularité de notre cœur, un peu comme dans l’œil d’un cyclone.
Ce n'est qu'en décidant de vous soigner que vous soignerez le monde autour de vous, d'abord votre monde immédiat, puis un monde plus large, et ainsi de suite. C'est une erreur de vouloir guérir le monde des fléaux qui l'habitent puisqu'en vous concentrant dessus, vous vous y attachez davantage... Si vous voulez vivre dans un monde libre, de paix, d'amour, de joie et de bonheur, alors faites-le déjà en vous, puis dans votre entourage immédiat, et ainsi de suite (Nassim HARAMEIN)."
La structure fondamentale de l’Espace-temps est un réseau géométrique scalaire infini utilisant le motif connu sous le nom de Fleur de Vie (Flower of Life).
En d’autres mots, l’espace lui-même est constitué de paquets d’énergie discrets réellement minuscules : la plus petite vibration que le spectre électromagnétique puisse produire, la Longueur de Planck.
Ces minuscules paquets sont en quelques sorte les "pixels" qui composent notre Univers, et puisqu’ils ne sont pas carrés mais sphériques nous allons les appeler "voxels ", qui s’organisent en un réseau géométrique 3D de Fleurs de Vie où les sphères sont parfaitement imbriquées les unes dans les autres.
Le schéma de la fleur de vie permet de se rapprocher de ce qu'on appelle "loi d'attraction", de ce qui n'est pas vain justement : la petite bulle au milieu (= vous) attire (et crée et rejette) ce qu'il y a autour d'elle.
" ... cette nature infinie est en fait présent dans vous, dans tous vos atomes et à cause de cette nature infinie, vous êtes connecté à toutes les choses dans l'univers à tout moment. Vous êtes fonction de la structure du vide: à chaque milliardième de seconde de votre existence, vous échangez des informations avec tout l'univers, à travers tous vos atomes, tout de suite... Vous êtes un participant actif à la création permanente de l'univers; vous faites partie de ce canal de l'information du vide qui passe d'infiniment grand à infiniment petit à travers vous et comme il passe à travers vous il choisit votre interprétation spécifique de l'univers et le nourrit à l'infini de toutes les choses afin que votre participation soit comptée... Vous commencez à avoir un sens de votre responsabilité ? Nassim Haramein "
À travers le sentiment cohérent du cœur, nous affectons les atomes, car le champ électrique et magnétique de notre cœur est puissant. Mais pour ce faire, il convient de nourrir, d'imaginer une nouvelle réalité dans la compassion, sans jugement, avec un mantra qui identifie par l'esprit ce que nous voulons voir advenir à travers le langage du cœur par le sentiment parfait. Il s'agit de faire comme si la réalité nouvelle était déjà là, déjà réalisée.
Autrement dit, nous attirons ce en quoi nous avons foi.
Ceci est la version simplifiée car il ne suffit pas de demander pour recevoir, c’est un peu plus complexe que cela bien sûr...
Voyons tout d’abord comment est classée cette loi. Elle est aussi appelée la «loi de l’attraction et de la résonance» en référence au phénomène des ondes vibratoires émanant de notre cerveau et «résonant» avec celles de l’Univers. Adéla Tremblay Sergerie a classé cette loi sous l’intitulé «j’ai la simplicité d’un enfant» comme étant la toute première de douze lois dites «cosmiques» et qui se concentrent plus particulièrement sur le corps. C’est-à-dire qu’elles elles régissent le comportement humain. Les voici :
1° J’ai la simplicité d’un enfant;
2° J’ai la joie de vivre;
3° Je suis miséricordieux;
4° Je suis compréhensif;
5° Mes intentions sont pures;
6° Je suis positif à 100%;
7° Je suis généreux de mes capacités et de mes biens;
8° Je suis libre de préjugés;
9° Je comprends et observe la loi naturelle;
10° J’ai le sens parfait de la justice;
11° Je distingue le degré d’évolution des gens;
12° Je comprends le sexe opposé au mien.
Dans le champ, toutes les possibilités existent déjà : vous êtes déjà guéri, la paix est une réalité, la joie est déjà partout! L’accès à toutes ces possibilités se fait par le biais de notre esprit, nous imaginons notre guérison, nous imaginons la paix, notre relation parfaite, l’abondance dans notre vie et …
…une fois que cette possibilité est ainsi créée dans notre esprit, nous utilisons notre cœur pour donner vie à cette possibilité.
Nous soufflons la vie à l’image que nous avons fabriqué avec notre esprit par le moyen du sentiment que nous créons avec le cœur et c’est ainsi que nous transformons cette image en une réalité de ce monde.
La science moderne commence à comprendre qu’ un sentiment pur a un effet sur les atomes et sur les molécules de notre monde physique.
Les possibilités quantiques existent :
– En tant qu’ondes d’énergies
– Ces ondes se contractent et se dilatent
– Elles viennent et elles repartent,
– Elles sont toujours en mouvement
Comment appellerait-on une onde qui ne bougerait pas?
Une onde stationnaire; c’est ce qui correspond à la réalité vécue, ce à quoi ressemble un atome, les atomes sont des ondes stationnaires.
Les croyances que nous avons dans notre cœur produisent des ondes stationnaires.
Notre cœur produit l’onde qui met en place les possibilités, c’est notre cœur qui produit l’onde qui fait les atomes, ce que vous croyez dans votre cœur: c’est cela qui met en place la possibilité. La source de nos expériences « négatives » peut se ramener à l'une des trois peurs universelles (ou à une combinaison des trois) : la peur de l'abandon, de ne pas être à la hauteur, ou de faire confiance.
Une étude menée en 1972 aux USA sur 24 villes de plus de 10'000 habitants a donné des résultats significatifs : la violence diminuait grâce à la prière de gens , une centaine, qui ressentait la paix. Il faut la racine carrée d'un pour cent de la population ( 8'000 pour 6 milliards). La qualité de nos croyances influencent le monde extérieur. Le miroir nous les reflètent, et dès lors l'enjeu du changement est dans la reconnaissance du langage du Champ et dans ce que nous voudrions changer.
Il s'agit donc de transformer ce qui nous a blessé en une nouvelle expérience positive. La bénédiction se place dans l'entre deux, entre le passé et l'avenir, dans un temps suspendu de reconnaissance de ce qui est, d'une souffrance abordée de là où règne la force et la clarté, plutôt que dans la faiblesse de la rage et de la souffrance : alors quelque chose peut se produite. La douleur s'en va, elle quitte notre corps pour être remplacée par un nouveau sentiment. C'est possible parce que notre cerveau ne peut pas juger et bénir en même temps !
La beauté détient le pouvoir de transformer le monde et notre vie : il s'agit de trouver la façon de voir au-delà du négatif, de nos blessures, souffrances, douleurs, la beauté qui est déjà là.
Ici, il convient de réaliser avec Agathe Raymond que "La transformation de notre vie se fait dès l’instant où nous faisons un focus sur le présent et non sur ce qui s’est passé de négatif avant l’instant présent.
L’utilisation constante des mêmes pensées, des mêmes croyances nuisent à créer un réservoir dans lequel l’univers dépose ce dont nous avons besoin maintenant. Il nous devient impossible de faire le plein de nouvelles énergies, de nouvelles idées créatives, de nouvelles occasions de réussir.
Même si nous croyons tout bien faire pour que la loi de l’attraction se mette en action, il manque un réservoir vide du passé, des peurs, des doutes, de la méfiance, si dans notre cœur, dans nos pensées, dans nos sentiments tout l’espace intérieur est occupé par des rancunes, des colères, des pensées et croyances limitatives et par la peur du manque, il ne reste aucune place pour que l’univers remplisse notre espace intérieur de nouveautés, de prospérité, de pensées créatives.
Il nous est quelquefois très difficile de laisser partir une peur, une croyance, une mémoire où nous avons expérimenté une situation qui n’a pas eu le succès attendu.
Faire le vide pour faire le plein nous demande de laisser partir des souvenirs, des pensées, des manques de confiance, la méfiance afin que l’univers puisse immédiatement remplir le vide par un plein d’abondance, de santé, d’énergie, de prospérité.
Dans la sagesse universelle aucun vide n’est accepté.
Aussitôt que nous acceptons de laisser partir nos pensées et croyances limitatives et souffrantes, aussitôt l’univers s’empresse de faire le plein d’une nouvelle énergie qui apporte bien-être, santé, prospérité, créativité.
L’univers est prêt à nous donner tout ce dont nous avons réellement besoin à la condition de créer l’espace nécessaire pour recevoir ce qui est idéal pour nous."
Nous irons ainsi vers ce que nous aimons et vers ce qui est tellement mieux ou tout simplement suffisamment bon, agréable, bien, beau, utile, nécessaire, etc. En nous dégageant de ce qui est nul, tellement moche, triste ou affligeant ! Dans un mouvement de dégagement et d'engagement, une co-création libre et responsable. S'ouvre alors un temps neuf avec de nouveaux possibles. Le divin est sensible à nos convictions intimes, à nos sentiments profonds: il en tient compte et nous exauce si l'environnement et les personnes concernées le permettent...